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Un groupe d’amis, rentrant au Nigeria après des études universitaires en Occident, commencent leurs carrières dans le contexte difficile d’une indépendance toute récente. Wole Soyinka avait pronostiqué dans sa pièce La Danse des forêts (1960) que cette indépendance risquait d’être sombre. Il confirme cette perspective dans Les Interprètes, publié en 1965. On trouve dans ce roman les diverses nuances du rire et du sourire que Soyinka le dramaturge déploie dans ses pièces satiriques pour se moquer de l’acculturation, de la corruption, de la dictature, de l’idéologie, de la superstition. Que ce soit sur le mode ludique ou sur le mode introspectif, la vision du monde de Wole Soyinka imprègne l’atmosphère des Interprètes, que l'on retrouvera sur le mode politique dans son deuxième roman publié en 1973 et dans son nouveau roman, écrit presque cinq décennies plus tard, à la fois thriller et satire politique.
Wole Soyinka est né en 1934 à Abeokuta au Nigeria. Dramaturge, poète, romancier, essayiste, universitaire engagé depuis toujours dans la lutte pour les droits humains, il a reçu en 1986 le Prix Nobel de Littérature.
Éditions Points
Éditions Points
Éditions Points Collection Poésie
Version bilingue
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
Dès sa parution, "un Nègre à Paris" annonçait une ouverture de la conscience africaine sur le monde occidental que Bernard Dadié devait par la suite, enrichir dans "Patron de New York" et "La ville où nul ne meurt".
Encore adolescent, Bamikilé quitte son village natal pour tenter l'aventure dans la grande ville de son pays. A force de courage et de bon sens il y fera fortune et gagnera l'estime de ses concitoyens. ...
Avec ce premier roman, Alain Rapon rend manifeste sa passion du récit, son désir d'échapper au tragique comme à la carte postale, et de briser la distance entre le vécu et l'écriture, en tentant de nous restituer le langage et le décor d'aujourd'hui.
Grand classique de la littérature antillaise, dans lequel Joseph ZOBEL, à travers le récit de sa propre enfance, nous décrit la Martinique des années 30, en peignant avec la mémoire du cœur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.
Un vieux paysan qui n'a jamais quitté son village natal, n'a plus aucun autre souhait que celui de voir la ville et mourir. Au terme de son séjour, il confie à ses hôtes citadins ce qui l'aura le plus frappé dans les centres urbains.
A la fin du XIXe siècle, quelques familles du canton de Vaud partent s'exiler à Constantine. L'auteur nous entraîne ici dans un suspense psychologique à travers une chronique familiale, franco-helvéto-algérienne....
Prix Littéraire de l'Afrique Noire 1997- "Ce roman se situe successivement dans l'Afrique et la FRANCE contemporaines... L'auteur nous révèle "l'impasse" dans laquelle se trouve l'Africain, l'homme, qui, entraîné dans un tourbillon de contraintes, se doit, au risque d'être broyé, d'inventer les portes qui lui sont fermées..."
Préface de Werewere Liking
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
Une nuit, sur le lac, une femme, ses enfants et son fidèle piroguier sont entraînés par les éléments déchaînés dans les eaux où séjournent les dieux : deux monstres marins qu'ils parviennent à vaincre. Les dieux sont morts, les puissances obscures démythifiées. Le jour se lève, splendide, sur un monde qui pleure ses dieux anciens.
Ce roman se situe dans la veine actuelle du roman policier africain contemporain.
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