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HISTORIQUE
HISTORIQUE
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Lot comportant les classiques (format poche) suivants:
-Nini (Abdoulaye Sadji)
-Maïmouna (Abdoulaye Sadji)
-Un piège sans fin (Olympe Bhêly-Quenum)
-Riwan (Ken Bugul)
-La mouche et la glu (Okoumba Nkoghe)
-Le cercle des tropiques (Alioum Fantouré)
-Le pauvre christ de Bomba (Mongo Beti)
-Sous l'orage (Seydou Badian)
-Un nègre à Paris (Bernard Dadié)
OFFRE VALABLE, UNIQUEMENT SUR LE SITE
Cet ouvrage décrit la vie quotidienne au Soudan français, sous le régime colonial, ainsi que l'influence plus ou moins néfaste qu'exerçaient et que continuent d'exercer les sorciers, féticheurs et autres "connaisseurs des choses cachées", sur la mentalité des populations du Mali profond.
Dans ce premier roman publié sous le pseudonyme d'Eza Boto, le lecteur découvrira, tracés avec une force qui s'accomplira exemplairement dans les œuvres postérieures, fort célèbres, de Mongo Béti, les drames d'une Afrique dominée, ceux qui opposent les humbles, les simples, les paysans, aux différents types d'exploiteurs du monde politique, économique et religieux.
Chef de famille, chômeur, pauvre et considéré, Ibrahima Dieng reçoit un providentiel mandat de Paris ; il essaie d'en toucher le montant. D'espoir fou en amères désillusions commencent alors ses tribulations. La grande habileté de Sembène Ousmane a consisté, dans ce récit, à reconstituer un monde à partir du plus modeste des événements.
Le gouverneur du territoire se situe dans les années d'après la conférence de Bandung. Il s'agit des dernières années des empires coloniaux perçues à travers le représentant du gouvernement métropolitain en Afrique.
Une saison africaine porte un regard lucide sur une Afrique post-indépendante, spoliée et exangue, en proie à des insuffisances structurelles importantes.
Prix Littéraire de l'Afrique Noire 1997- "Ce roman se situe successivement dans l'Afrique et la FRANCE contemporaines... L'auteur nous révèle "l'impasse" dans laquelle se trouve l'Africain, l'homme, qui, entraîné dans un tourbillon de contraintes, se doit, au risque d'être broyé, d'inventer les portes qui lui sont fermées..."
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
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