HISTORIQUE
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Dans le Sénégal des années 1960, Juletane, jeune antillaise mariée à un Africain rencontré à Paris, apprend à partager sa vie avec Awa, la première femme de Mamadou, mère de ses trois enfants, et la troisième femme, Ndèye, la préférée. Mais réussira-t-elle dans son effort d'intégration à l'Afrique d'hier et d'aujourd'hui ; ou son journal intime ne sera-t-il que le témoin muet d'une destinée d'exil, de solitude et de folie ?
Myriam Warner-Vieyra est née à la Guadeloupe, et vit au Sénégal depuis fort longtemps. Son premier roman : "Le Quimboiseur l'avait dit..." a été publié à Présence Africaine en 1980.
Un vieux paysan qui n'a jamais quitté son village natal, n'a plus aucun autre souhait que celui de voir la ville et mourir. Au terme de son séjour, il confie à ses hôtes citadins ce qui l'aura le plus frappé dans les centres urbains.
Le Masque de chacal est un ouvrage dans lequel le lecteur serait tenté de voir un tableau fidèle de la vie quotidienne des quinze dernières années au Congo. Tout dans le récit semble inviter à une telle lecture ...
TRADUCTION DE L'ANGLAIS PAR LAURENT VANINI
PREFACE DE SOULEYMANE BACHIR DIAGNE
Technicien de l'informatique dans une entreprise française, Madi Kondé refuse obstinément depuis vingt ans de rallier son pays, la République du Sahel, et son régime corrompu.
Un grand roman d’apprentissage alliant la douleur violente de l’exil au lyrisme contemplatif de l’errance.
Quelque part en Afrique…
Une manifestation populaire, hostile au pouvoir en place. Une balle meurtrière qui va infléchir le destin d’un jeune homme. C’est à une formidable odyssée vengeresse, riche en rebondissements que nous convie l’auteur de ce surprenant récit. C’est aussi, sur fond de guerre civile, le tableau d’une société rongée par la misère et ses conséquences : exploitation, répression, corruption …
Bantouville, capitale coloniale africaine en plein coeur de l'Europe Occidentale Baoulienne, n'a jamais existé - cela va de soi. A la rigueur, pourrait-on l'imaginer comme une extravagante " chambre noire " qui, suite au mariage absurde entre un révélateur périmé et un fixateur hors d'usage, ne saurait produire que des clichés encore plus absurdes. ...
Grand classique de la littérature antillaise, dans lequel Joseph ZOBEL, à travers le récit de sa propre enfance, nous décrit la Martinique des années 30, en peignant avec la mémoire du cœur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.
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