
Le peuple d'un pays d'Afrique se tourne vers le pouvoir occulte des ancêtres pour se débarrasser de son dictateur en le transformant en âne. Exclu du monde des humains, le tyran est précipité dans l'univers des bêtes.
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Dans le Sénégal des années 1960, Juletane, jeune antillaise mariée à un Africain rencontré à Paris, apprend à partager sa vie avec Awa, la première femme de Mamadou, mère de ses trois enfants, et la troisième femme, Ndèye, la préférée. Mais réussira-t-elle dans son effort d'intégration à l'Afrique d'hier et d'aujourd'hui ; ou son journal intime ne sera-t-il que le témoin muet d'une destinée d'exil, de solitude et de folie ?
Myriam Warner-Vieyra est née à la Guadeloupe, et vit au Sénégal depuis fort longtemps. Son premier roman : "Le Quimboiseur l'avait dit..." a été publié à Présence Africaine en 1980.
Le peuple d'un pays d'Afrique se tourne vers le pouvoir occulte des ancêtres pour se débarrasser de son dictateur en le transformant en âne. Exclu du monde des humains, le tyran est précipité dans l'univers des bêtes.
TRADUCTION DE L'ANGLAIS PAR LAURENT VANINI
PREFACE DE SOULEYMANE BACHIR DIAGNE
Ce recueil de nouvelles regroupe des textes inédits en FRANCE (à l'exception de Mashaka elfu moja).Outre le surréel, amitié, amour, tendresse, humour, violence et radioscopie du racisme piégé dominent ces récits.
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
Dans ce roman fragmenté en brefs chapitres ... Anne TIDDIS a recours à la pudeur du merveilleux où l'onirisme et le sacré côtoient le poétique pour que les cris du bestiaire humain contre les fauves de Dieu, deviennent un hymne incantatoire à la vie.
Le chroniqueur raconte le quotidien de l'histoire des hommes, le temps vécu lui-même, cela dont l'historien, en quête d'une intelligibilité plus abstraite, ne parle pas : le fait divers, l'événement singulier, et, plus fugaces encore, ces riens, ces impressions, tristes ou drôles, vagues ou inoubliables, dont une vie est faite, et qui donnent à toute existence humaine, si modeste, si anonyme qu'elle soit, son irréductible gravité. J. B. Tati Loutard, en cette douzaine de nouvelles - genre par excellence de la litote - rend manifeste, par la maîtrise de la plus discrète et la plus juste des écritures, une authentique sensibilité à ce qui constitue le pathétique de toute existence, qu'elle soit celle du riche ou du pauvre, de l'accablé ou du puissant ; il apporte aussi, sur le monde congolais, un document plein de tendresse et de lucidité.
Ce roman est à la fois un cri de révolte, un chant tendre et une parole d'espoir.
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