

Préface de Maryse Condé
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À travers le récit des péripéties du jeune Ndenga, assigné à résidence par le Guide Suprême, Père de la Nation, ce roman est un exposé sur la culture traditionnelle africaine, qui invite le lecteur à la redécouvrir et à la valoriser. Au cours de cette plongée dans une Afrique souvent méconnue, le ton utilisé, loin d’être solennel, frise la dérision et l’humour. Mais pour l’auteur, ce roman est aussi et surtout un hymne à la femme, africaine en particulier, et au rôle qu'elle est appelée à jouer dans l’édification d'une Afrique nouvelle.
Auteur de Tu le diras à ma mère (Présence Africaine, 2015), Joseph Mwantuali est originaire de la République Démocratique du Congo. Il réside actuellement aux États-Unis où il enseigne la littérature au Hamilton College de Clinton, dans l’État de New York.
Joseph Mwantuali est originaire de la République Démocratique du Congo (RDC). Il est professeur de littérature à l'université de Hamilton College (Clinton, N.Y.), et réside aux États-Unis.
Préface de Werewere Liking
Un vieux paysan qui n'a jamais quitté son village natal, n'a plus aucun autre souhait que celui de voir la ville et mourir. Au terme de son séjour, il confie à ses hôtes citadins ce qui l'aura le plus frappé dans les centres urbains.
Bamako-Paris New York est une vision comparative de deux systèmes sociaux : les relations interraciales en Amérique et en France où l'on retrouve d'une part, la politique identitaire et le communautarisme, et d'autre part, l'individualisme et les droits universels. Dans Bamako-Paris-New York, Manthia Diawara nous révèle les nouvelles fractures qui existent dans la société française. Pour lui, les banlieues rappellent de façon implacable que la France est en train de devenir comme l'Amérique : une société divisée entre riches et pauvres.
Malgré les longues études qu'il a faites en Amérique, malgré sa situation de professeur et tous ses titres, il se demande s'il est devenu l'homme cosmopolite qu'il rêvait d'être, ou s'il est encore prisonnier d'un groupe racial ou ethnique.
Paris-Bamako-New York est aussi un défit lancé à tous ceux qui souhaitent s'investir et participer activement à la construction d'une identité d'adoption sans rester figé dans leur propre culture.
Grand classique de la littérature antillaise, dans lequel Joseph ZOBEL, à travers le récit de sa propre enfance, nous décrit la Martinique des années 30, en peignant avec la mémoire du cœur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.
Sous l'orage : d'une part, le poids du passé, l'autorité de la tradition, le prestige des anciens, d'autre part, l'appel de temps nouveaux, l'ouverture et les émois de la jeunesse : la profondeur millénaire de l'Afrique et les horizons stimulants dévoilés par d'autres formes de savoir, ce débat est celui des pères et des fils, et tel est l'orage subi par les peuples africains.
Le Masque de chacal est un ouvrage dans lequel le lecteur serait tenté de voir un tableau fidèle de la vie quotidienne des quinze dernières années au Congo. Tout dans le récit semble inviter à une telle lecture ...
Sabine Denoblecourt était une jeune femme blanche qu'un secret de famille avait condamnée à une haine implacable de l'homme noir. Mais un jour elle tomba éperdument amoureuse d'un jeune africain.
Traduction du portugais (Angola) par Artur Da Costa et Christian Pirlet
Djibril Tamsir Niane s'est mis ici à l'écoute de l'Afrique traditionnelle. Les paroles qu'il nous propose sont paroles de griots.
Cet ouvrage décrit la vie quotidienne au Soudan français, sous le régime colonial, ainsi que l'influence plus ou moins néfaste qu'exerçaient et que continuent d'exercer les sorciers, féticheurs et autres "connaisseurs des choses cachées", sur la mentalité des populations du Mali profond.
Ce roman est à la fois un cri de révolte, un chant tendre et une parole d'espoir.
Le protagoniste essentiel de ce récit est un masque, le grand N'TOMO ; de son absence, de son rapt naît le drame. Ainsi sommes-nous invités, peut-être, à méditer les dimensions d'un autre drame où se jouerait la destinée, c'est-à-dire l'identité négro-africaine.
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