HISTORIQUE
HISTORIQUE
Préface de Maryse Condé
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À travers le récit des péripéties du jeune Ndenga, assigné à résidence par le Guide Suprême, Père de la Nation, ce roman est un exposé sur la culture traditionnelle africaine, qui invite le lecteur à la redécouvrir et à la valoriser. Au cours de cette plongée dans une Afrique souvent méconnue, le ton utilisé, loin d’être solennel, frise la dérision et l’humour. Mais pour l’auteur, ce roman est aussi et surtout un hymne à la femme, africaine en particulier, et au rôle qu'elle est appelée à jouer dans l’édification d'une Afrique nouvelle.
Auteur de Tu le diras à ma mère (Présence Africaine, 2015), Joseph Mwantuali est originaire de la République Démocratique du Congo. Il réside actuellement aux États-Unis où il enseigne la littérature au Hamilton College de Clinton, dans l’État de New York.
Joseph Mwantuali est originaire de la République Démocratique du Congo (RDC). Il est professeur de littérature à l'université de Hamilton College (Clinton, N.Y.), et réside aux États-Unis.
Préface de Werewere Liking
Un grand roman d’apprentissage alliant la douleur violente de l’exil au lyrisme contemplatif de l’errance.
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
Préface de Werewere Liking
Grand classique de la littérature antillaise, dans lequel Joseph ZOBEL, à travers le récit de sa propre enfance, nous décrit la Martinique des années 30, en peignant avec la mémoire du cœur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.
Quelque part en Afrique…
Une manifestation populaire, hostile au pouvoir en place. Une balle meurtrière qui va infléchir le destin d’un jeune homme. C’est à une formidable odyssée vengeresse, riche en rebondissements que nous convie l’auteur de ce surprenant récit. C’est aussi, sur fond de guerre civile, le tableau d’une société rongée par la misère et ses conséquences : exploitation, répression, corruption …
Le protagoniste essentiel de ce récit est un masque, le grand N'TOMO ; de son absence, de son rapt naît le drame. Ainsi sommes-nous invités, peut-être, à méditer les dimensions d'un autre drame où se jouerait la destinée, c'est-à-dire l'identité négro-africaine.
Dans ce roman, Dhafer ou l'Elu, traverse le temps et l'espace depuis la débacle des Arabes en Andalousie, jusqu'au crépuscule de ce siècle.
TRADUCTION DE L'ANGLAIS PAR LAURENT VANINI
PREFACE DE SOULEYMANE BACHIR DIAGNE
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