Préface de Maryse Condé
HISTORIQUE
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Préface de Werewere Liking
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L'HISTOIRE VRAIE DE COCO RAMAZANI
Coco Ramazani, orpheline depuis son plus jeune âge, connaît une enfance rude et douloureuse. Entraînée de force dans les conflits armés qui ravagent la région des Grands Lacs et singulièrement l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), elle est victime de violences sexuelles, sort réservé à de nombreuses femmes, cibles privilégiées dans ce type de conflits. Ayant réussi à rejoindre une de ses sœurs aux États-Unis, Coco doit aujourd’hui lutter contre la maladie, conséquence directe des viols subis, et contre les grands traumatismes de la guerre. Malgré cet effroyable destin, elle refuse de s’enfoncer dans le silence et a trouvé le courage de raconter son histoire à Joseph Mwantuali, lui- même originaire de RDC.
Joseph Mwantuali est originaire de la République Démocratique du Congo (RDC). Il est professeur de littérature à l'université de Hamilton College (Clinton, N.Y.), et réside aux États-Unis.
Préface de Maryse Condé
Le gouverneur du territoire se situe dans les années d'après la conférence de Bandung. Il s'agit des dernières années des empires coloniaux perçues à travers le représentant du gouvernement métropolitain en Afrique.
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
Technicien de l'informatique dans une entreprise française, Madi Kondé refuse obstinément depuis vingt ans de rallier son pays, la République du Sahel, et son régime corrompu.
La présence du Christ en Afrique noire, l'ambiguïté de l'action missionnaire, le problème de l'universalité du message chrétien, ce sont là les questions graves auxquelles Mongo Béti s'affronte dans ce roman où la puissance de la vision et la création de figures romanesques inoubliables (tel le R.P. Drumont) sont à la mesure de l'exigence réaliste et de la verve critique.
Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
À travers l'émouvante histoire de Maïmouna, ce sont deux mondes, deux façons de vivre, deux morales, deux visages de l'Afrique qu'Abdoulaye Sadji, romancier sensible et lucide, dévoile.
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