Ce roman est à la fois un cri de révolte, un chant tendre et une parole d'espoir.
HISTORIQUE
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Dans ce roman fort et poignant, Sassine narre le massacre du village de Wirriyamu, perpétré par des militaires portugais en Afrique : vieillards, femmes, enfants et nourrissons sont exterminés, le village littéralement anéanti. S’appuyant sur un espace clos oppressant — le village isolé en proie à la folie meurtrière coloniale —, l’auteur déploie une narration à la fois réaliste et poétique, mêlant monologue intérieur, souvenirs et retour au passé . Au cœur de ce décor tragique, il oppose les figures du pouvoir, corrompues et implacables, à celles des laissés-pour-compte — mendiants, lépreux, orphelins — confrontés à une violence absurde mais porteurs d’une quête de sens, de mémoire et, contre toute attente, d’espoirt. Par son talent de styliste, Sassine transcende le récit historique pour en faire une œuvre universelle sur l’extrême cruauté coloniale et les résistances intérieures face à l’extermination collective, élevant ce thème tragique à la dimension d’un grand livre
Williams Sassine est né en 1944 à Kankan en Guinée, et mort en 1997 à Conakry.
Plus de vingt ans durant, il vécut exilé, enseignant les mathématiques en diverses régions d'Afrique. Rentré au pays après la disparition de Sékou Touré, il tenta de vivre de sa plume, en romancier, nouvelliste, dramaturge (primé et joué plus d'une fois au Festival de Limoges) et en éditorialiste satirique au journal Le Lynx. Le Jeune homme de sable après Saint Monsieur Baly en 1973 et Wirriyamu en 1976 fut suivi de l'Alphabête et du Zéhéros n'est pas n'importe qui, parus aux Editions Présence Africaine.
Ce roman est à la fois un cri de révolte, un chant tendre et une parole d'espoir.
Mémoire d'une peau, livre posthume du regretté Williams Sassine, est un roman flamboyant, émouvant de vérité, à l'humour désespéré et corrosif, servi par une verve étincelante, somptueuse, poétique. Ce récit, par bien des côtés autobiographique, est le testament d'un écrivain majeur, lucide, et généreux.
Vieux-Habitants, Guadeloupe, en 1847 à la veille de l'abolition de l'esclavage. Débouya pa péché, nous raconte dans une langue simple et belle, le destin croisé de Man Héloise, Léanette, Noëline et Zaïre, esclaves dans une habitation caféière et témoins de ce tourbillon qui va emporter définitivement le monde ancien, avec son lot d'espérance et d'incertitudes.
Ce roman se situe dans la veine actuelle du roman policier africain contemporain.
Une nuit, sur le lac, une femme, ses enfants et son fidèle piroguier sont entraînés par les éléments déchaînés dans les eaux où séjournent les dieux : deux monstres marins qu'ils parviennent à vaincre. Les dieux sont morts, les puissances obscures démythifiées. Le jour se lève, splendide, sur un monde qui pleure ses dieux anciens.
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
Encore adolescent, Bamikilé quitte son village natal pour tenter l'aventure dans la grande ville de son pays. A force de courage et de bon sens il y fera fortune et gagnera l'estime de ses concitoyens. ...
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