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HISTORIQUE
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Guelwaar est un roman de l’écrivain et cinéaste sénégalais Ousmane Sembène, publié en 1996. Il s'inspire de son film du même nom, sorti en 1992. L'histoire se déroule dans un village sénégalais où Pierre Henri Thioune, surnommé Guelwaar, un militant catholique engagé contre l'aide internationale, meurt après avoir été agressé. À la morgue, une erreur administrative conduit à l'inhumation de son corps dans un cimetière musulman, provoquant un conflit entre les communautés religieuses. La famille chrétienne de Guelwaar, refusant cette situation, organise ses funérailles avec un cercueil vide. À travers ce récit, Sembène aborde des thèmes tels que la corruption, la mendicité, l'asservissement et la honte, tout en dénonçant les maux qui affectent l'Afrique. Le roman met en lumière les tensions religieuses et les injustices sociales, offrant une critique acerbe de la situation politique et économique du continent africain. Guelwaar est une œuvre qui interroge les rapports entre les individus, les communautés et les institutions, tout en soulignant l'importance de la dignité humaine et de la justice sociale.
Fils de pêcheur, Sembène Ousmane est né en 1923 en Casamance.
Autodidacte, il a été tour à tour mécanicien, maçon et militaire, puis docker à Marseille. Rentré en Afrique après de nombreux voyages en Europe, il a mené depuis une double activité d'écrivain et de réalisateur de cinéma. Il est décédé le 9 juin 2007 à Dakar.
Chef de famille, chômeur, pauvre et considéré, Ibrahima Dieng reçoit un providentiel mandat de Paris ; il essaie d'en toucher le montant. D'espoir fou en amères désillusions commencent alors ses tribulations. La grande habileté de Sembène Ousmane a consisté, dans ce récit, à reconstituer un monde à partir du plus modeste des événements.
Dans ce roman fragmenté en brefs chapitres ... Anne TIDDIS a recours à la pudeur du merveilleux où l'onirisme et le sacré côtoient le poétique pour que les cris du bestiaire humain contre les fauves de Dieu, deviennent un hymne incantatoire à la vie.
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
Nous vivons les derniers mois de l'ère coloniale au Sahel Maritime et dans sa province des Îles des Trois-Sœurs. Les événements se succèdent à un rythme rapide où trois destins de leaders nationaux s'affrontent dans une lutte fratricide pour le pouvoir.
Il s'agit de la rencontre entre deux hommes : Georges et Pierre. L'un est un être ordinaire et l'autre, un prêtre. Ce que tente ici de réaliser Moussa Konaté, dans son deuxième roman et d'une façon originale, c'est de situer la rencontre, non point au niveau de l'opposition religieuse, mais davantage au niveau de la confrontation mentale...
Quelque part en Afrique…
Une manifestation populaire, hostile au pouvoir en place. Une balle meurtrière qui va infléchir le destin d’un jeune homme. C’est à une formidable odyssée vengeresse, riche en rebondissements que nous convie l’auteur de ce surprenant récit. C’est aussi, sur fond de guerre civile, le tableau d’une société rongée par la misère et ses conséquences : exploitation, répression, corruption …
Ce livre est dominé par Tonton Hannibal-Ideloy Bwakamé Na Sakkadé. Ancien baroudeur devenu Président de la République à la faveur d'un coup d'état, il exerce un pouvoir illimité. A travers ce roman, c'est le problème du pouvoir et du contre-pouvoir qui est posé dans toute son ampleur.
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