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" Guelwaar décrit le bouleversement qu'entraîne, dans un village, l'inhumation d'un chrétien dans un cimetière musulman.
Guelwaar traite de la honte, de la mendicité et de l'asservissement, dénonce dans une fable inspirée d'un fait divers authentique la corruption et autres maux dont souffre l'Afrique...
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" Guelwaar décrit le bouleversement qu'entraîne, dans un village, l'inhumation d'un chrétien dans un cimetière musulman.
Guelwaar traite de la honte, de la mendicité et de l'asservissement, dénonce dans une fable inspirée d'un fait divers authentique la corruption et autres maux dont souffre l'Afrique. " Le Monde " Guelwaar, le dernier film de Sembène, est un pamphlet extraordinaire sur le chaos moral, religieux et administratif de l'Afrique de notre époque. Depuis son Borom Sarret qui a établi le langage cinématographique africain, les films de Sembène traduisent une véritable chronique du combattant.
" New York Xabaar News.
Fils de pêcheur, Sembène Ousmane est né en 1923 en Casamance.
Autodidacte, il a été tour à tour mécanicien, maçon et militaire, puis docker à Marseille. Rentré en Afrique après de nombreux voyages en Europe, il a mené depuis une double activité d'écrivain et de réalisateur de cinéma. Il est décédé le 9 juin 2007 à Dakar.
Chef de famille, chômeur, pauvre et considéré, Ibrahima Dieng reçoit un providentiel mandat de Paris ; il essaie d'en toucher le montant. D'espoir fou en amères désillusions commencent alors ses tribulations. La grande habileté de Sembène Ousmane a consisté, dans ce récit, à reconstituer un monde à partir du plus modeste des événements.
Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
Nous sommes dans une salle de thêatre. Le spectacle écrit t mis en scène par Saibel-Ti vient de commencer, mais il est aussitôt interrompu: un homme se dresse pour protester contre le genre de théâtre proposé au public. Un coup de feu claque: l'homme s'effondre tué. Le public refuse de livrer l'assassin ou de donner sur lui la moindre information susceptible d'expliquer son geste
Le vieux Kokè reçoit un étranger qu'il accueille avec toute la courtoisie qu'exige l'usage. Qu'un homme dans la force de l'âge se déplace en cette période de travaux champêtres, voilà qui intrigue Kokè. Il voudrait bien savoir les raisons de cette présence pour le moins insolite, mais la bienscéance lui interdit de poser des questions précises. L'étranger en tire avantage pour maintenir son hôte dans le doute en se réfugiant derrières des formules sibyllines : " Si l'on voit un oiseau s'envoler de son refuge la nuit, c'est qu'il a touché à quelque chose - ou que quelque chose l'a touché. J'ai décidé d'ôter mes jambes de dessous mon ventre, de chasser l'air sous mes pieds... pour m'aérer un peu l'esprit... quand la bouche parle l'esprit fait le reste ". Il faudra toute l'amitié de Diamory, frère cadet de Kokè, pour arracher à Maso le secret de sa présence et dévoiler la histoire d'un homme issu d'un ménage polygame, victime de l'apathie de son père et exposé aux méchancetés de sa marâtre. L'amitié lui apportera l'apaisement tant attendu, mais il sait que " le plaisir du voyage est dans le retour "
Son beau livre, Crépuscule des temps anciens, chronique plus que roman, qui couvre trois siècles de l'histoire du Bwamu, jusqu'aux débutes de la colonisation, répond à cette exigence. L'auteur y a mis toute sa conscience et tout son coeur, témoignant de cette ojectivité rare qui consiste, lorsqu'il s'agit de hommes, à se mettre sincèrement à l'écoute.
FORMAT POCHE
Il était une fois - à Médina, dans un quartier moyennement bourgeois de la capitale - un homme qui avait su cristalliser sur lui tous les regards, toutes les amitiés, toutes les envies et toute la considération que confère la possession d'un château, de grandes terres, d'une femme ou d'une voiture de luxe, et cela grâce seulement à sa poubelle.
Ce roman se situe dans la veine actuelle du roman policier africain contemporain.
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