Une nuit, sur le lac, une femme, ses enfants et son fidèle piroguier sont entraînés par les éléments déchaînés dans les eaux où séjournent les dieux : deux monstres marins qu'ils parviennent à vaincre. Les dieux sont morts, les puissances obscures démythifiées. Le jour se lève, splendide, sur un monde qui pleure ses dieux anciens.
Une nuit, sur le lac, une femme, ses enfants et son fidèle piroguier sont entraînés par les éléments déchaînés dans les eaux où séjournent les dieux : deux monstres marins qu'ils parviennent à vaincre. Les dieux sont morts, les puissances obscures démythifiées. Le jour se lève, splendide, sur un monde qui pleure ses dieux anciens.
Olympe BHÊLY-QUENUM est né en 1928 à Ouidah, au Bénin. Il vit actuellement entre le Bénin et le sud de la France. Licencié ès Lettres classiques, il enseigne tout d’abord le français, le grec et le latin dans différents lycées en région parisienne.Il effectue ensuite des stages de diplomatie dans différents consulats généraux de France dans différents pays européens. Il entre ensuite dans le journalisme, en tant que Rédacteur en chef, puis Directeur du magazine africain « La Vie Africaine » qu’il dirige jusqu’en 1964. Il fonde avec sa femme le magazine « L’Afrique Actuelle », qu’il dirige jusqu’à son entrée à l’UNESCO. Fonctionnaire international, Olympe BHÊLY-QUENUM a été appelé à effectuer plusieurs missions dans la plupart des pays africains. Il est également un expert de l’OUA pour les problèmes culturels, littéraires et des industries culturelles en Afrique Noire, membre de l’Association africaine de Culture et de l’Association internationale des critiques littéraires.http://www.obhelyquenum.com/
Ce recueil de nouvelles regroupe des textes inédits en FRANCE (à l'exception de Mashaka elfu moja).Outre le surréel, amitié, amour, tendresse, humour, violence et radioscopie du racisme piégé dominent ces récits.
Grand classique de la littérature antillaise, dans lequel Joseph ZOBEL, à travers le récit de sa propre enfance, nous décrit la Martinique des années 30, en peignant avec la mémoire du cœur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.
Nous sommes dans une salle de thêatre. Le spectacle écrit t mis en scène par Saibel-Ti vient de commencer, mais il est aussitôt interrompu: un homme se dresse pour protester contre le genre de théâtre proposé au public. Un coup de feu claque: l'homme s'effondre tué. Le public refuse de livrer l'assassin ou de donner sur lui la moindre information susceptible d'expliquer son geste
L'auteur est assurément le premier d'une nouvelle génération d'auteurs zaïrois qui succède à la génération des pionniers (Lomami Tchibamba, Bolamba...) et à la première vague post-indépendance (Mukala Kadima Nzuii, Mudimbe, Ngal, Ngandu Kashama, Matala Mukadi...).
À travers l'émouvante histoire de Maïmouna, ce sont deux mondes, deux façons de vivre, deux morales, deux visages de l'Afrique qu'Abdoulaye Sadji, romancier sensible et lucide, dévoile.
Il s'agit de la rencontre entre deux hommes : Georges et Pierre. L'un est un être ordinaire et l'autre, un prêtre. Ce que tente ici de réaliser Moussa Konaté, dans son deuxième roman et d'une façon originale, c'est de situer la rencontre, non point au niveau de l'opposition religieuse, mais davantage au niveau de la confrontation mentale...
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