

Une saison africaine porte un regard lucide sur une Afrique post-indépendante, spoliée et exangue, en proie à des insuffisances structurelles importantes.
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Une saison africaine porte un regard lucide sur une Afrique post-indépendante, spoliée et exangue, en proie à des insuffisances structurelles importantes. Malgré tout, c'est un roman d'espoir sur des hommes et des femmes d'Afrique, qui, en dépit du chaos, luttent et s'organisent pour améliorer leurs conditions de vie. Ce roman met également en scène une femme qui se découvre un espace de liberté grâce à l'alphabétisation et qui, par sa pugnacité, retourne la situation à son avantage.
Originaire du Mali, Fatoumata Fathy Sidibé est diplômée en communication sociale et journalisme. Militante des droits humains, elle a cofondé et présidé le Comité belge Ni Putes Ni Soumises. Depuis 2009, elle est députée au Parlement bruxellois. Également artiste peintre, elle a publié un livre d’art et de poésie Les Masques parlent aussi, éditions Saran. Une saison africaine est son premier roman.
Préface de Werewere Liking
Prix Littéraire de l'Afrique Noire 1997- "Ce roman se situe successivement dans l'Afrique et la FRANCE contemporaines... L'auteur nous révèle "l'impasse" dans laquelle se trouve l'Africain, l'homme, qui, entraîné dans un tourbillon de contraintes, se doit, au risque d'être broyé, d'inventer les portes qui lui sont fermées..."
Dans ce récit autobiographique, Ekwé Misipo nous entraîne à travers les soubresauts des politiques et des conséquences des colonisations du XXe siècle - souvent tragiques pour certaines populations, dont sa famille faisait partie.
Lamine KAMARA, enfant de la savane, du clair-pays, évoque dans Safrin, les beautés et la vitalité du pays Manding à travers le récit clair d'un duel. Un duel au fouet auquel se livrent les jeunes gens à la belle saison, quand le riz est rentré et que les jeunes filles chantent la joie de vivre
Bantouville, capitale coloniale africaine en plein coeur de l'Europe Occidentale Baoulienne, n'a jamais existé - cela va de soi. A la rigueur, pourrait-on l'imaginer comme une extravagante " chambre noire " qui, suite au mariage absurde entre un révélateur périmé et un fixateur hors d'usage, ne saurait produire que des clichés encore plus absurdes. ...
A l'heure où Boudiaf répondait oui à l'Algérie, deux soeurs, deux Algériennes, s'affrontent avec Paris pour témoin. Un face-à-face émouvant. Deux femmes plus que jamais unies par les liens du sang
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