HISTORIQUE
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Deux ombres du passé ressurgissent et hantent la vie de Marcel Tchikaya, chacune à sa manière : l’une surgie du cœur de la guerre, l’autre issue d’un arbre généalogique brisé. Aujourd’hui, Marcel doit choisir son chemin, s’engager sur une voie plutôt qu’une autre. Il lui serait utile d’étudier la carte pour comprendre les marécages secrets dont ces ombres sont nées. Si leur origine commune est la naissance, c’est la perte qui les unit. Dans ce voyage, qu’il soit quête ou fuite, Marcel ignore que le plus difficile n’est pas tant de perdre quelqu’un, mais de renoncer à l’espoir de son retour et de continuer, coûte que coûte, à survivre. Portrait d’une génération, ce récit suit un jeune diplômé en lettres qui reçoit un appel l’obligeant à retourner dans son pays natal pour retrouver une mère qu’il espère encore vivante. Au fil de ce retour, ressurgissent les souvenirs d’enfance, de guerre et des livres qui ont façonné l’homme qu’il est devenu.
Jussy Kiyindou est né à Brazzaville (Congo) en 1989. Il arrive en France à onze ans et vit actuellement à Paris. Après des études de lettres et de théâtre à la Sorbonne, il poursuit son itinérance et cristallise son désir d'écrire. Il est l'auteur de Quand tombent les lumières du crépuscule... paru en 2016 aux éditions Présence Africaine (Prix du Premier Roman Sylvain Bemba 2018).
Le Masque de chacal est un ouvrage dans lequel le lecteur serait tenté de voir un tableau fidèle de la vie quotidienne des quinze dernières années au Congo. Tout dans le récit semble inviter à une telle lecture ...
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
Au milieu des années cinquante, en période de lutte pour l'indépendance, dans un paisible village du royaume du Maroc, aux portes du désert, Chrétiens, Juifs et Musulmans vivent en bonne intelligence. ...
Dans ce roman fragmenté en brefs chapitres ... Anne TIDDIS a recours à la pudeur du merveilleux où l'onirisme et le sacré côtoient le poétique pour que les cris du bestiaire humain contre les fauves de Dieu, deviennent un hymne incantatoire à la vie.
Vieux-Habitants, Guadeloupe, en 1847 à la veille de l'abolition de l'esclavage. Débouya pa péché, nous raconte dans une langue simple et belle, le destin croisé de Man Héloise, Léanette, Noëline et Zaïre, esclaves dans une habitation caféière et témoins de ce tourbillon qui va emporter définitivement le monde ancien, avec son lot d'espérance et d'incertitudes.
Le protagoniste essentiel de ce récit est un masque, le grand N'TOMO ; de son absence, de son rapt naît le drame. Ainsi sommes-nous invités, peut-être, à méditer les dimensions d'un autre drame où se jouerait la destinée, c'est-à-dire l'identité négro-africaine.
A notre époque où de nombreuses populations connaissent l'exil, Anne Tiddis décline en six contes la force onirique du déchirement. Six versions de l'exil au temps. Après "Terre plurielle", l'auteur continue sa recherche sur l'émotion d'une mémoire algérienne.
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