HISTORIQUE
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Après une absence de quatre ans, Gabriel revient à Nairobi pour retrouver deux femmes, Mbonoko et Nancy Gloria, figures mythiques des quartiers populaires de la capitale kenyane. Leur ambition dévorante les a poussées à fonder une radio célèbre, devenir des cheffes, voyager sur l’Atlantique, élever des coqs de combat et mener la Grande Guerre nubienne-luhya de l’automne 2004. Accompagné d’un jeune chauffeur de taxi, Gabriel retrouve leur trace et obtient d’elles la possibilité de recueillir leurs récits. Mais les entretiens ne se passent pas comme prévu. La parole déborde. Peu à peu, c’est une ville hallucinée qui se déploie sous ses yeux. Elle ne le quittera plus. Cette ville-autre qui s’empare de lui, le poursuit sur les boulevards, à l’arrière des taxis, jusque dans les couloirs vides de son petit hôtel, c’est la ville des opprimés et des effarés, la ville des premières désillusions, dont l’histoire n’a jamais été prise au sérieux.
Jean-Baptiste Lanne est né en 1989. Géographe de formation, il s’est spécialisé dans l’étude des vies urbaines en Afrique de l’Est, en enquêtant notamment auprès des veilleurs de nuit. Ce travail l’a conduit à faire de longs séjours de recherche au Kenya, en particulier à Nairobi. Il vit à Paris. Rives d’où je vous veille est son premier roman.
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
Dans ce récit autobiographique, Ekwé Misipo nous entraîne à travers les soubresauts des politiques et des conséquences des colonisations du XXe siècle - souvent tragiques pour certaines populations, dont sa famille faisait partie.
Jojo, ancien barman dans un hôtel d'Afrique, et Charlie, un policier corrompu destitué, réussissent un casse pour financer leur voyage vers la FRANCE. Largués d'un cargo au large de Carthagène, ils parviennent en Espagne où un passeur les amènera à Toulouse où ils seront pris en charge par deux aigrefins quoique compatriotes...
Le protagoniste essentiel de ce récit est un masque, le grand N'TOMO ; de son absence, de son rapt naît le drame. Ainsi sommes-nous invités, peut-être, à méditer les dimensions d'un autre drame où se jouerait la destinée, c'est-à-dire l'identité négro-africaine.
À travers l'émouvante histoire de Maïmouna, ce sont deux mondes, deux façons de vivre, deux morales, deux visages de l'Afrique qu'Abdoulaye Sadji, romancier sensible et lucide, dévoile.
Dès sa parution, "un Nègre à Paris" annonçait une ouverture de la conscience africaine sur le monde occidental que Bernard Dadié devait par la suite, enrichir dans "Patron de New York" et "La ville où nul ne meurt".
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