Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
HISTORIQUE
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Dans ce nouveau livre, Fadel Dia évoque son enfance dans un village peul, berceau de sa famille, sur la rive gauche du fleuve Sénégal, au Fouta Toro, au « temps des Blancs ». La vie y était lente et tendre. Les travaux et les jours, les fêtes et les saisons, les relations familiales et sociales, étaient régis par des normes héritées d’une tradition plusieurs fois séculaire. Émouvantes de sincérité et de pudeur, ces pages racontent l’intimité de cette communauté familiale dont les membres, éminents ou modestes, jeunes ou anciens, sont tous les obligés les uns des autres, soudés par leur attachement à leur mode de vie, par le respect des bienséances et de l’honneur, par la fidélité à leur culture, au pulaagu et à leur foi.
Fadel Dia est né à Ndioum, dans le nord du Sénégal. Historien et géographe de formation, il a été chef du département de géographie à l'École Normale Supérieure de Dakar, avant d'occuper diverses fonctions nationales et internationales. Il est l'auteur d'essais, de romans et de chroniques publiées dans des périodiques sénégalais.
Fadel DIA né au Sénégal, est géographe et historien de formation. Il a été secrétaire général de la Conférence des ministres de l’Education ayant le français en partage.
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
A la fin du XIXe siècle, quelques familles du canton de Vaud partent s'exiler à Constantine. L'auteur nous entraîne ici dans un suspense psychologique à travers une chronique familiale, franco-helvéto-algérienne....
FORMAT POCHE
Préface de Maryse Condé
Six amis d'enfance se retrouvent après avoir pris des voies différentes. L'un d'eux, Basile, a émigré. Ceux qui sont restés au pays ne se voient plus que rarement, les uns et les autres n'étant plus du même milieu. ...
Dès sa parution, "un Nègre à Paris" annonçait une ouverture de la conscience africaine sur le monde occidental que Bernard Dadié devait par la suite, enrichir dans "Patron de New York" et "La ville où nul ne meurt".
Avec ce premier roman, Alain Rapon rend manifeste sa passion du récit, son désir d'échapper au tragique comme à la carte postale, et de briser la distance entre le vécu et l'écriture, en tentant de nous restituer le langage et le décor d'aujourd'hui.
Dans ce roman, Dhafer ou l'Elu, traverse le temps et l'espace depuis la débacle des Arabes en Andalousie, jusqu'au crépuscule de ce siècle.
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