

Version bilingue
Livraison partout dans le monde
Port offert en Europe à partir de 30€
Retrait gratuit à Paris
Paiement sécurisé
« L’humanité reste une affaire inaboutie, Leah ».
Tels sont les mots que Wole Soyinka adresse à l’une des adolescentes enlevées en 2018 dans l’internat de Dapchi, au nord-est du Nigeria, où elle est toujours retenue prisonnière. Cette Ode humaniste est dédiée à Leah, à l’enfance volée et aux élèves de Chibok dont le rapt massif en 2014 par le groupe islamiste Boko Haram avait suscité une mobilisation internationale avec le mouvement #BringBackOurGirls réclamant de « ramener nos filles ». Ce long poème poignant est aussi une critique cinglante des ravages du pouvoir, surtout quand le religieux et le politique se lient. Il fustige la violence aveugle et les fondamentalismes de tous bords qui se développent au Nigeria et à l’échelle du monde.
Wole Soyinka est né en 1934 à Abeokuta au Nigeria. Dramaturge, poète, romancier, essayiste, universitaire engagé depuis toujours dans la lutte pour les droits humains, il a reçu en 1986 le Prix Nobel de Littérature.
Éditions Points
Éditions Points
Éditions Points Collection Poésie
L'Afrique venait à peine de conquérir son indépendance. Mais face aux jeux obscurs des forces impérialistes provoquant dans nombre de pays africains, singulièrement au Congo, des antagonismes politiques, des querelles intestines et des luttes tribales, il était devenu difficile à quiconque s'est trouvé mêlé au drame du peuple noir, de garder le silence.
Pierre AMROUCHE, c'est la parole qui atteste, avec une brièveté qui touche de plein fouet, auréolée de cette liberté qui rend la vie à la vie, une poésie de soleil fraternel.
Cet ouvrage déploie en une fresque polyphonique en vers libres les "interrogations" d'un intellectuel africain, confronté à sa mémoire. Les remparts dont il s'agit ici, protègent d'une mémoire possessive et exigeante. Mémoire plurielle aussi. Tout le livre est constitué d'un poème unique organisé en tableaux-partitions, articulé autour de grands moments.
Préface de Daniel Maximin - Peintures de Joël Nankin
"Tu joins les mains devant la mort et la mer t'ouvre les bras."
" Et nous sommes debout maintenant, mon pays et moi, les cheveux dans le vent, ma main petite maintenant dans son poing énorme et la force n'est pas en nous, mais au-dessus de nous, dans une voix qui vrille la nuit et l'audience comme la pénétrance d'une guêpe apocalyptique...
Malgré le pessimisme manifeste dans sa poésie, A. NENE sait apprécier le bon côté de la vie. Elle exalte le phénomène de la maternité comme un défi à la mort.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour améliorer votre expérience d'achat et pour réaliser des statistiques de visites.