
Éditions Points
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« L’humanité reste une affaire inaboutie, Leah ».
Tels sont les mots que Wole Soyinka adresse à l’une des adolescentes enlevées en 2018 dans l’internat de Dapchi, au nord-est du Nigeria, où elle est toujours retenue prisonnière. Cette Ode humaniste est dédiée à Leah, à l’enfance volée et aux élèves de Chibok dont le rapt massif en 2014 par le groupe islamiste Boko Haram avait suscité une mobilisation internationale avec le mouvement #BringBackOurGirls réclamant de « ramener nos filles ». Ce long poème poignant est aussi une critique cinglante des ravages du pouvoir, surtout quand le religieux et le politique se lient. Il fustige la violence aveugle et les fondamentalismes de tous bords qui se développent au Nigeria et à l’échelle du monde.
Wole Soyinka est né en 1934 à Abeokuta au Nigeria. Dramaturge, poète, romancier, essayiste, universitaire engagé depuis toujours dans la lutte pour les droits humains, il a reçu en 1986 le Prix Nobel de Littérature.
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Éditions Points Collection Poésie
L'Afrique venait à peine de conquérir son indépendance. Mais face aux jeux obscurs des forces impérialistes provoquant dans nombre de pays africains, singulièrement au Congo, des antagonismes politiques, des querelles intestines et des luttes tribales, il était devenu difficile à quiconque s'est trouvé mêlé au drame du peuple noir, de garder le silence.
Ce recueil de poèmes est consacré à Amélia NENE, l'épouse du poète, disparue en 1996. On retrouve dans ce recueil le réseau d'obsessions du poète : la mer, la femme, la mort, le sentiment tragique de la vie.
L'Ordre des Phénomènes, suivi des Feux de la Planète, célèbre dans un climat solaire la femme, songe immortel incarné dans un limon tendre : " Ton corps est le seul éclair qui jaillit Sans que le temps soit à la pluie.
Préface de Daniel Maximin - Peintures de Joël Nankin
Dans ce livre que l'auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c'est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun! Kamerun!"
Pierre AMROUCHE, c'est la parole qui atteste, avec une brièveté qui touche de plein fouet, auréolée de cette liberté qui rend la vie à la vie, une poésie de soleil fraternel.
Rires en attente est plus qu'un recueil de poèmes ou une suite de fragments. Dans ce « long chant polyphonique », Niyi Osundare met en scène diverses formes d'attente dans des circonstances et des lieux très différents où désirs, peurs et rires se font écho, ponctués par des refrains obsédants qui ricochent avec humour ou ironie, irrévérence ou gravité.
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