Sarki Tanimoune sera sultan du Damagaram (1851-1884)
Né en 1942 à Zinder, dans le Sud-Est de son pays, André Salifou a présidé successivement, de 1991 à 1993, la Conférence nationale du Niger et le Haut-Conseil de la République, parlement de la Transition. Il a par la suite été député et Ministre d'État. Auparavant, André Salifou avait enseigné l'histoire et la géographie dans le Secondaire et, de 1979 à 1991, l'histoire de la colonisation et de la décolonisation à l'Université de Niamey. De 1972 à 1979, il avait été fonctionnaire international à l'Agence de Coopération culturelle et technique, à l'Unesco et à l'Organisation commune africaine et mauricienne. André Salifou est l'auteur d'ouvrages consacrés notamment à l'histoire, à la pédagogie universitaire et au théâtre.
Qu'est-ce que la démocratie ? Qu'est-ce qu'un parti politique ? Comment se répartissent les pouvoirs ? Comment s'organisent des élections ? Quels sont les modes de scrutin ? Qu'est-ce qu'une liste électorale ? Qu'est-ce qu'une Constitution ? Qu'est-ce qu'un État ? Comment sont apparus les Droits de l'homme ? C'est à toutes ces questions que tente de répondre le professeur André Salifou.
Cet ouvrage déploie en une fresque polyphonique en vers libres les "interrogations" d'un intellectuel africain, confronté à sa mémoire. Les remparts dont il s'agit ici, protègent d'une mémoire possessive et exigeante. Mémoire plurielle aussi. Tout le livre est constitué d'un poème unique organisé en tableaux-partitions, articulé autour de grands moments.
L'Ordre des Phénomènes, suivi des Feux de la Planète, célèbre dans un climat solaire la femme, songe immortel incarné dans un limon tendre : " Ton corps est le seul éclair qui jaillit Sans que le temps soit à la pluie.
Ce volume reprend dans son état initial le recueil publié par Edouard Glissant en 1961. II contient les poèmes écrits entre 19 et 26 ans, de 1947 et 1954. Le titre et les poèmes sont à l’image du poète.
« Je suis un Métis culturel fier de conjuguer l'émotion arabo-berbère et la raison blanche » proclame ce Kabyle « senghorisé ». Derrière une allure discrète et racée, Pierre Amrouche porte en lui, à l'infini, une entaille féminine où se croisent et s'enlacent, des êtres à parenté cachée, toujours à l'écoute des intuitions, d'où qu'elles viennent, de toutes les longitudes et de toutes les latitudes
Dans ce livre que l'auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c'est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun! Kamerun!"
" Et nous sommes debout maintenant, mon pays et moi, les cheveux dans le vent, ma main petite maintenant dans son poing énorme et la force n'est pas en nous, mais au-dessus de nous, dans une voix qui vrille la nuit et l'audience comme la pénétrance d'une guêpe apocalyptique...
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