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Depuis l'Atlantique écorché et le bitume parisien, depuis les nuits guyanaises et les aubes martiniquaises, voici quatre textes pour dire cette pulsion qui entraine les peuples de l'obscur à l'éclat, du silence à l'éruption, de la résignation à la résistance. Résistance aux violences post-coloniales, policières, mémorielles. Quatre textes pour exprimer les sentiments de tous ceux qui recherchent les jarres d'or qui leur ont été confisquées.
Véronique Kanor a longtemps travaillé dans les médias avant de prendre un chemin artistique.Dans une perspective décoloniale, elle fouille les terres afro-caribéennes par la photo, la vidéo, l'écriture et les performances scéniques.
A son actif, 3 courts-métrages sur l'identité antillaise (La Noiraude, C’est qui l’homme et La femme qui passe), une dizaine de documentaires radio et télé sur les résistances, un Afromaton mobile qu'elle pose un peu partout pour filmer les identités noires afro-diasporiques. Elle met généralement ses textes en scène à travers des performances de pictdub poetry.
Version bilingue
Pierre AMROUCHE, c'est la parole qui atteste, avec une brièveté qui touche de plein fouet, auréolée de cette liberté qui rend la vie à la vie, une poésie de soleil fraternel.
Voici, réunie pour la première fois, la somme poétique de Jean-Baptiste Tati Loutard. Son univers poétique - auquel la préface d'Ariette Chemain introduit par ailleurs admirablement - ne manqua pas de séduire Senghor, lui-même, qui y reconnaissait la marque d'un grand talent.
Francophone, Jean-Baptiste Tati Loutard est également apprécié des anglophones qui lui ont décerné, en 1987, le «All Africa Okigbo Prize for Poetry», prix créé par Wole Soyinka.
Avec, La Vie poétique, ensemble de maximes, le grand public découvrira aussi une réflexion sur l'art et la création poétique.
Écrivain du Congo-Brazzaville, sa poésie a été saluée en 1998, à Asilah (Maroc) par le Jury du Prix africain de poésie «Tchicaya U Tarn si». Il a, par ailleurs, été distingué par l'Académie française, en 1992, avec la médaille de vermeil du Rayonnement de la langue française, pour l'ensemble de son oeuvre.
Dans ce livre que l'auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c'est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun! Kamerun!"
Préface de Daniel Maximin - Peintures de Joël Nankin
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