HISTORIQUE
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Avant Batouala, roman couronné par le Prix Goncourt en 1921, René Maran a publié des recueils de poésie et c’est d’abord comme poète qu’il entendait occuper sa place dans le champ littéraire des premières années du XXe siècle. En revenant à la poésie avec la publication, en 1958, du recueil Le Livre du souvenir, René Maran rappelle l’importance que la poésie a occupé dans son projet littéraire. Dans cet ouvrage qui prend la forme d’une anthologie personnelle, Maran a rassemblé des poèmes de jeunesse, évoquant tour à tour ses premiers émois amoureux, ses études à Bordeaux, son affinité avec la sagesse stoïcienne. Ces poèmes ici recueillis, donnent à entendre une voix gagnée par la mélancolie, tentée par la solitude, qui témoigne d’une attention au monde et d’une exigence sans faille, celles d’un « de ces enfants dont la pensée évoque de grands ciels lointains ».
L'Ordre des Phénomènes, suivi des Feux de la Planète, célèbre dans un climat solaire la femme, songe immortel incarné dans un limon tendre : " Ton corps est le seul éclair qui jaillit Sans que le temps soit à la pluie.
Dans ce livre que l'auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c'est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun! Kamerun!"
Ce recueil de poèmes est consacré à Amélia NENE, l'épouse du poète, disparue en 1996. On retrouve dans ce recueil le réseau d'obsessions du poète : la mer, la femme, la mort, le sentiment tragique de la vie.
Pierre AMROUCHE, c'est la parole qui atteste, avec une brièveté qui touche de plein fouet, auréolée de cette liberté qui rend la vie à la vie, une poésie de soleil fraternel.
Préface de Daniel Maximin - Peintures de Joël Nankin
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