HISTORIQUE
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Malgré le pessimisme manifeste dans sa poésie, A. NENE sait apprécier le bon côté de la vie. Elle exalte le phénomène de la maternité comme un défi à la mort.
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Malgré le pessimisme manifeste dans sa poésie, A. NENE sait apprécier le bon côté de la vie. Elle exalte le phénomène de la maternité comme un défi à la mort.
Amélia Néné (1954-1996), écrivaine, poétesse et chercheuse congolaise, est une figure pionnière de la poésie féminine au Congo. Son premier recueil, Fleurs de vie (1980), se distingue par une écriture lyrique et sensible, mêlant légèreté et densité, qui plonge le lecteur au cœur d’émotions profondes telles que la nostalgie, la mélancolie, la vie et la mort. Son style fluide, en vers libres, exprime un tempérament méditatif et une confrontation poignante avec le drame de l’existence humaine, marquée par une révolte contre la disparition inéluctable. Malgré ce pessimisme, Amélia Néné célébrait aussi la maternité comme un acte de résistance à la mort. Engagée, elle a activement participé à la vie culturelle congolaise, notamment à travers l’Union révolutionnaire des femmes du Congo. Après plusieurs deuils douloureux dans les années 1990, son écriture s’est assombrie, notamment dans son recueil posthume Balles perdues (1998). Son mari, le poète Jean-Baptiste Tati Loutard, lui a rendu hommage dans Le Palmier-lyre. Amélia Néné laisse ainsi une œuvre poétique marquée par la force de ses émotions et son engagement social.
Version bilingue
Cet ouvrage déploie en une fresque polyphonique en vers libres les "interrogations" d'un intellectuel africain, confronté à sa mémoire. Les remparts dont il s'agit ici, protègent d'une mémoire possessive et exigeante. Mémoire plurielle aussi. Tout le livre est constitué d'un poème unique organisé en tableaux-partitions, articulé autour de grands moments.
Rires en attente est plus qu'un recueil de poèmes ou une suite de fragments. Dans ce « long chant polyphonique », Niyi Osundare met en scène diverses formes d'attente dans des circonstances et des lieux très différents où désirs, peurs et rires se font écho, ponctués par des refrains obsédants qui ricochent avec humour ou ironie, irrévérence ou gravité.
" Et nous sommes debout maintenant, mon pays et moi, les cheveux dans le vent, ma main petite maintenant dans son poing énorme et la force n'est pas en nous, mais au-dessus de nous, dans une voix qui vrille la nuit et l'audience comme la pénétrance d'une guêpe apocalyptique...
Ses poèmes ont le parfum subtil du Cantique des Cantiques. Et aussi l'accent des poèmes de Tagore, c'est-à-dire qu'ils sont les fleurs naturelles d'une terre de poésie, de la terre du nard et de l'encens : des orchidées parfumées... Ils expriment l'essence même de l'amour..." (Léopold Sédar Senghor).
« Je suis un Métis culturel fier de conjuguer l'émotion arabo-berbère et la raison blanche » proclame ce Kabyle « senghorisé ». Derrière une allure discrète et racée, Pierre Amrouche porte en lui, à l'infini, une entaille féminine où se croisent et s'enlacent, des êtres à parenté cachée, toujours à l'écoute des intuitions, d'où qu'elles viennent, de toutes les longitudes et de toutes les latitudes
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