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Sur les marches du soir, Rites millénaires, Antsa, Lamba, Antidote, Les ordalies (Poésie) réunit l’ensemble des recueils et poèmes publiés en revue par Jacques Rabemananjara, restitués dans l’ordre de leur parution. Cette édition permet de suivre l’évolution intellectuelle et esthétique de l’auteur à travers les langues et les cultures qu’il a traversées. Enrichi d’un appareil critique, l’ouvrage replace son œuvre dans son contexte socio-politique et culturel, mettant en lumière son importance majeure, à la fois artistique, historique et politique, dans l’histoire de Madagascar. Ce volume rend enfin accessible sur l’île l’intégralité de l’œuvre poétique de Rabemananjara.
Jacques Rabemananjara est un écrivain et homme politique malgache de langue française, auteur notamment de Sur les marches du soir, qui fut l'une des grandes figures du monde politique et littéraire de Madagascar. Il est né en 23 juin 1913 à Maroantsetra et est décédé le 2 avril 2005 à Paris.
Héros de l'indépendance malgache, Jacques Rabemananjara, un des fondateurs du MDRM (Mouvement Démocratique pour la Rénovation Malgache), élu député de Madagascar en 1946, fut condamné aux travaux forcés pour les rébellions de 1947 dirigés par le MDRM puis amnistié en 1956 ; il ne regagna son île qu'en 1960. Il y fut alors député, ministre et vice-président sous le régime de Philibert Tsiranana, avant de s'exiler à nouveau en France après la révolution de 1972.
Ce récit tente de ressusciter la péripétie de ce destin tragique et de contribuer à arracher de l'oubli un épisode méconnu, quasi mythique de l'histoire malgache du XIXe siècle.
"L'étreinte de mes bras a reconquis l'ivresse des temps voués jadis à nos rites premiers..."
Les poèmes les plus modernes et les plus profondément africains de Leurres et Lueurs ont été inspirés par des contes.
Poésie, conte, théâtre telle est la diversité et aussi la richesse de l'œuvre de Birago Diop, qui ne s'est pas outre mesure préoccupé de distinction ni de classification des genres littéraires.
Préface de Daniel Maximin - Peintures de Joël Nankin
" Après Déjà le sol est semé, Le Tombeau transparent et Le Chant de Sama N'déye, Léopold Congo-Mbemba nous offre ici son quatrième recueil de poèmes [...]. Ténors-Mémoires est un recueil qui exsude la sensibilité, la maturité et la maîtrise littéraire, [...] qui est tout d'émotions, d'amour, d'humanité et de significations, traversé de part en part de beauté et de Négritude, un texte qui nous raconte le Nègre, l'homme. Et, que Ténors-Mémoires soit dédié à Damas, à Senghor et à Césaire n'est pas anodin, est signe de ce qu'il contient, de (esprit qui l'anime. " (Extrait de la préface)
Dans ce livre que l'auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c'est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun! Kamerun!"
Cet ouvrage déploie en une fresque polyphonique en vers libres les "interrogations" d'un intellectuel africain, confronté à sa mémoire. Les remparts dont il s'agit ici, protègent d'une mémoire possessive et exigeante. Mémoire plurielle aussi. Tout le livre est constitué d'un poème unique organisé en tableaux-partitions, articulé autour de grands moments.
Voici, réunie pour la première fois, la somme poétique de Jean-Baptiste Tati Loutard. Son univers poétique - auquel la préface d'Ariette Chemain introduit par ailleurs admirablement - ne manqua pas de séduire Senghor, lui-même, qui y reconnaissait la marque d'un grand talent.
Francophone, Jean-Baptiste Tati Loutard est également apprécié des anglophones qui lui ont décerné, en 1987, le «All Africa Okigbo Prize for Poetry», prix créé par Wole Soyinka.
Avec, La Vie poétique, ensemble de maximes, le grand public découvrira aussi une réflexion sur l'art et la création poétique.
Écrivain du Congo-Brazzaville, sa poésie a été saluée en 1998, à Asilah (Maroc) par le Jury du Prix africain de poésie «Tchicaya U Tarn si». Il a, par ailleurs, été distingué par l'Académie française, en 1992, avec la médaille de vermeil du Rayonnement de la langue française, pour l'ensemble de son oeuvre.
"L'étreinte de mes bras a reconquis l'ivresse des temps voués jadis à nos rites premiers..."
"Tu joins les mains devant la mort et la mer t'ouvre les bras."
Ses poèmes ont le parfum subtil du Cantique des Cantiques. Et aussi l'accent des poèmes de Tagore, c'est-à-dire qu'ils sont les fleurs naturelles d'une terre de poésie, de la terre du nard et de l'encens : des orchidées parfumées... Ils expriment l'essence même de l'amour..." (Léopold Sédar Senghor).
L'Ordre des Phénomènes, suivi des Feux de la Planète, célèbre dans un climat solaire la femme, songe immortel incarné dans un limon tendre : " Ton corps est le seul éclair qui jaillit Sans que le temps soit à la pluie.
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