Cet ouvrage déploie en une fresque polyphonique en vers libres les "interrogations" d'un intellectuel africain, confronté à sa mémoire. Les remparts dont il s'agit ici, protègent d'une mémoire possessive et exigeante. Mémoire plurielle aussi. Tout le livre est constitué d'un poème unique organisé en tableaux-partitions, articulé autour de grands moments.
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Sikhé Camara, né en 1921 à Boké, est un juriste, professeur de droit, homme politique et poète guinéen. Il occupe plusieurs postes ministériels sous le régime de Sékou Touré, notamment ceux de ministre de l'Éducation supérieure et de ministre de la Justice. Parallèlement à sa carrière politique, il publie plusieurs recueils de poésie engagée, tels que Poèmes de combat et de vérité (1967), Clairière dans le ciel (1973) et Somme de la poésie guinéenne de combat (1980). Après le coup d'État de 1984, il est emprisonné, puis relâché sous le régime de Lansana Conté, reprenant par la suite sa carrière de juriste.
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Ses poèmes ont le parfum subtil du Cantique des Cantiques. Et aussi l'accent des poèmes de Tagore, c'est-à-dire qu'ils sont les fleurs naturelles d'une terre de poésie, de la terre du nard et de l'encens : des orchidées parfumées... Ils expriment l'essence même de l'amour..." (Léopold Sédar Senghor).
Ce volume reprend dans son état initial le recueil publié par Edouard Glissant en 1961. II contient les poèmes écrits entre 19 et 26 ans, de 1947 et 1954. Le titre et les poèmes sont à l’image du poète.
"Tu joins les mains devant la mort et la mer t'ouvre les bras."
L'Ordre des Phénomènes, suivi des Feux de la Planète, célèbre dans un climat solaire la femme, songe immortel incarné dans un limon tendre : " Ton corps est le seul éclair qui jaillit Sans que le temps soit à la pluie.
Dans ce livre que l'auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c'est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun! Kamerun!"