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HISTORIQUE
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Sur fond de banlieue parisienne et de vies d'immigrés, deux histoires d'amour se côtoient, se croisent, tirent chacune leur force de l'autre. Celle d'une jeune femme moderne, libérée, indépendante, « féministe », et d'un homme plutôt passéiste, plus ou moins écrasé par la vie, un écorché vif, une sorte de raté, mais qui se bat pour survivre. Celle d'une adolescente noire et d'un lycéen blanc. Deux amours qui exaltent l'Homme. Agonies, c'est un voyage, une plongée dans l'âme humaine. C'est la confrontation de l'homme et de la femme modernes dans leurs passions, leurs désirs, leurs idées. C'est un face-à-face intérieur du Noir, de l'Africain avec lui-même, avec son être, son âme, avec la Modernité, l'Étranger.
Né au Congo-Brazzaville en 1953, le romancier Daniel BIYAOULA a fait ses études supérieures à Reims où il a obtenu un doctorat en microbiologie. Partagé entre la pratique des sciences et la pratique de la littérature, il observe la réalité actuelle des Africains qui vivent entre l'Europe et l'Afrique, dont l'existence se comprend entre le désir de conserver des racines ancestrales imaginées et la difficulté d'accéder à la modernité des sociétés européennes qui s'offrent en modèle.
Prix Littéraire de l'Afrique Noire 1997- "Ce roman se situe successivement dans l'Afrique et la FRANCE contemporaines... L'auteur nous révèle "l'impasse" dans laquelle se trouve l'Africain, l'homme, qui, entraîné dans un tourbillon de contraintes, se doit, au risque d'être broyé, d'inventer les portes qui lui sont fermées..."
Six amis d'enfance se retrouvent après avoir pris des voies différentes. L'un d'eux, Basile, a émigré. Ceux qui sont restés au pays ne se voient plus que rarement, les uns et les autres n'étant plus du même milieu. ...
Massala-Massala a abandonné ses études depuis des années. Il rêve de venir un jour en FRANCE, à Paris, capitale de la consécration, afin de réussir comme Charles Moki, un des "grands" du quartier dont les retours au pays natal pendant les vacances de la saison sèche, ne ...
Un couple – il est noir, elle est blanche – vivant en Afrique, est à la recherche de lui-même autant que du pourquoi de son existence. A travers une succession de tableaux du quotidien, parfois sublimes, souvent bouleversants, mais jamais innocents, c'est la solitude à deux, les difficultés de l'amour et son érosion par le temps, les voyages intérieurs, leur impuissance face aux maux de l'Afrique, qu'expriment Eloka et Aimée.
Le chroniqueur raconte le quotidien de l'histoire des hommes, le temps vécu lui-même, cela dont l'historien, en quête d'une intelligibilité plus abstraite, ne parle pas : le fait divers, l'événement singulier, et, plus fugaces encore, ces riens, ces impressions, tristes ou drôles, vagues ou inoubliables, dont une vie est faite, et qui donnent à toute existence humaine, si modeste, si anonyme qu'elle soit, son irréductible gravité. J. B. Tati Loutard, en cette douzaine de nouvelles - genre par excellence de la litote - rend manifeste, par la maîtrise de la plus discrète et la plus juste des écritures, une authentique sensibilité à ce qui constitue le pathétique de toute existence, qu'elle soit celle du riche ou du pauvre, de l'accablé ou du puissant ; il apporte aussi, sur le monde congolais, un document plein de tendresse et de lucidité.
Ce roman est à la fois un cri de révolte, un chant tendre et une parole d'espoir.
FORMAT POCHE
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
Le protagoniste essentiel de ce récit est un masque, le grand N'TOMO ; de son absence, de son rapt naît le drame. Ainsi sommes-nous invités, peut-être, à méditer les dimensions d'un autre drame où se jouerait la destinée, c'est-à-dire l'identité négro-africaine.
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