HISTORIQUE
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La réédition de Dominique, nègre esclave, est pour nous, ses amis, un modeste hommage à la mémoire de Léonard Sainville, un des pionniers généreux et lucide, infatigable et fidèle, de la lutte pour la reconnaissance de la dignité de l’homme noir. Cette réédition s’impose aussi par la qualité littéraire de cet ouvrage et par le grand intérêt qu’il présente pour l’histoire de la révolte noire, du marronnage, aux Antilles dans la première moitié du xixe siècle. Car Sainville, romancier sensible, était aussi historien, et la fiction, ici, se soutient de la connaissance précise de la réalité. Ce beau roman, enfin, magnifie le seul combat qui vaille : le combat pour la libération des hommes opprimés.
Léonard Sainville (1910-1977) est un historien et romancier martiniquais qui soutiendra en 1970 sa thèse de doctorat en histoire sur le thème "La Condition des Noirs aux Antilles françaises de 1830 à 1850".
Ce recueil de nouvelles regroupe des textes inédits en FRANCE (à l'exception de Mashaka elfu moja).Outre le surréel, amitié, amour, tendresse, humour, violence et radioscopie du racisme piégé dominent ces récits.
TRADUCTION DE L'ANGLAIS PAR LAURENT VANINI
PREFACE DE SOULEYMANE BACHIR DIAGNE
Un vieux paysan qui n'a jamais quitté son village natal, n'a plus aucun autre souhait que celui de voir la ville et mourir. Au terme de son séjour, il confie à ses hôtes citadins ce qui l'aura le plus frappé dans les centres urbains.
Lucien Samba-Kifwani scrute minutieusement un univers social, en inventorie les particularités et subtilement, de la façon la plus élégante, fait d'une réflexion sur le travail temporaire un récit dont la force provient de sa plongée dans l'expérience d'un vécu profondément humain! De sorte que l'immigration échappe à toute saisie abstraite...
Son magnifique ouvrage, Crépuscule des temps anciens, davantage chronique que roman, retrace trois siècles d’histoire du Bwamu, jusqu’aux débuts de la colonisation. L’auteur y déploie toute sa conscience et son cœur, faisant preuve d’une objectivité rare : celle de se mettre sincèrement à l’écoute des hommes qu’il décrit.
Un grand roman d’apprentissage alliant la douleur violente de l’exil au lyrisme contemplatif de l’errance.
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
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