HISTORIQUE
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Dans ce roman fragmenté en brefs chapitres ... Anne TIDDIS a recours à la pudeur du merveilleux où l'onirisme et le sacré côtoient le poétique pour que les cris du bestiaire humain contre les fauves de Dieu, deviennent un hymne incantatoire à la vie.
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Dans ce roman fragmenté en brefs chapitres pour mieux appréhender la violence des émotions, sonder les blessures des personnages, s'infiltrer dans les tréfonds des âmes violentées de l'Algérie contemporaine, Anne TIDDIS a recours à la pudeur du merveilleux où l'onirisme et le sacré côtoient le poétique pour que les cris du bestiaire humain contre les fauves de Dieu, deviennent un hymne incantatoire à la vie.
De culture franco-algérienne, Anne TIDDIS est née à Constantine. Ancienne pensionnaire de la Casa de Velazquez en qualité de cinéaste, elle se consacre à la littérature depuis 1995.
Site de l'auteur:
A notre époque où de nombreuses populations connaissent l'exil, Anne Tiddis décline en six contes la force onirique du déchirement. Six versions de l'exil au temps. Après "Terre plurielle", l'auteur continue sa recherche sur l'émotion d'une mémoire algérienne.
Élevée dans un milieu protestant par sa grand-mère maternelle, nourrie de références catholiques par sa mère, côtoyant la culture musulmane par son père, Anne-Leîla va découvrir dans le passage de l'enfance à l'adolescence, les richesses de ces cultures mais aussi de 1954 à 1964 leur confrontation brutale et sanguinaire dans la guerre d'Algérie.
A la fin du XIXe siècle, quelques familles du canton de Vaud partent s'exiler à Constantine. L'auteur nous entraîne ici dans un suspense psychologique à travers une chronique familiale, franco-helvéto-algérienne....
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
La présence du Christ en Afrique noire, l'ambiguïté de l'action missionnaire, le problème de l'universalité du message chrétien, ce sont là les questions graves auxquelles Mongo Béti s'affronte dans ce roman où la puissance de la vision et la création de figures romanesques inoubliables (tel le R.P. Drumont) sont à la mesure de l'exigence réaliste et de la verve critique.
Il s'agit de la rencontre entre deux hommes : Georges et Pierre. L'un est un être ordinaire et l'autre, un prêtre. Ce que tente ici de réaliser Moussa Konaté, dans son deuxième roman et d'une façon originale, c'est de situer la rencontre, non point au niveau de l'opposition religieuse, mais davantage au niveau de la confrontation mentale...
Prix européen de l'ADELF 1998-
Stan est chargée par son journal de retrouver et d'interviewer Dormier, un écrivain de talent qui a tout quitté, en pleine gloire, pour partir vivre en Afrique. "Quelle est donc cette terre qui ne laisse personne la quitter indemne?
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
FORMAT POCHE
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
Le chroniqueur raconte le quotidien de l'histoire des hommes, le temps vécu lui-même, cela dont l'historien, en quête d'une intelligibilité plus abstraite, ne parle pas : le fait divers, l'événement singulier, et, plus fugaces encore, ces riens, ces impressions, tristes ou drôles, vagues ou inoubliables, dont une vie est faite, et qui donnent à toute existence humaine, si modeste, si anonyme qu'elle soit, son irréductible gravité. J. B. Tati Loutard, en cette douzaine de nouvelles - genre par excellence de la litote - rend manifeste, par la maîtrise de la plus discrète et la plus juste des écritures, une authentique sensibilité à ce qui constitue le pathétique de toute existence, qu'elle soit celle du riche ou du pauvre, de l'accablé ou du puissant ; il apporte aussi, sur le monde congolais, un document plein de tendresse et de lucidité.
Elle a vingt-trois ans et quitte sa Bourgogne natale. Elle rejoint un ami comédien dans une capitale d'Afrique centrale pour un emploi de chanteuse de cabaret. Elle aime passionnément un médecin citoyen de ce pays, qui sera assassiné par la dictature au pouvoir. Elle rentre en France puis irrésistiblement s'en retourne vers la ville de ses amours. Elle y vit immergée et pauvre au sein du peuple qui souffre aux prises avec l'iniquité, la corruption, la violence meurtrière, dans la fraternité des combattants de la liberté. Un roman dont le langage exprime une extrême sensibilité poétique aux lieux, aux choses, aux êtres. Elle restitue ainsi une image étonnamment vraie et profonde de l'Afrique présente, vécue à travers une flamboyante et tragique aventure.
La narratrice, Salimatou, qui finit de purger une longue peine de prison, se décide enfin à écrire à son ami d'enfance de toujours, Serge, pour lui avouer les raisons de ce long silence
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