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HISTORIQUE
HISTORIQUE
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L'abondance du récit, la minutie des descriptions, la diversité des personnages, les premières entreprises d'un héros ambigu, l'homme du destin dont on pressent l'ascension future, le fond historique réel où se déploie la fiction aux multiples péripéties, le ton détaché, drôle ou grave, tout conspire à faire de l'Homme du Troupeau du Sahel - premier tome d'une trilogie intitulée les Cités du Termite - l'ouverture, accomplie en elle-même, d'une moderne épopée africaine.
Alioum FANTOURÉ est né en 1938 à Forécariah, en République de Guinée. Après des études supérieures en sciences économiques en France et en Belgique, il a travaillé dans différents organismes de coopération internationale, notamment à la Communauté Economique Européenne à Bruxelles et aux Nations Unies, dont il fut un haut fonctionnaire. Spécialiste du développement industriel, il a mené différents travaux de recherche & développement. Il se consacre désormais depuis sa retraite à son activité littéraire.
Le Cercle des Tropiques, premier roman d’Alioum FANTOURÉ, obtint en 1973 le Grand Prix de littérature d’Afrique Noire. Suivront L’homme du troupeau du Sahel (1979), Le voile ténébreux (1985), Le gouverneur du territoire (1995), Le Récit du Cirque… de la vallée des morts (2000), L’arc en ciel sur l’Afrique (2001) qui obtint le Prix Media Tropical.
Nous vivons les derniers mois de l'ère coloniale au Sahel Maritime et dans sa province des Îles des Trois-Sœurs. Les événements se succèdent à un rythme rapide où trois destins de leaders nationaux s'affrontent dans une lutte fratricide pour le pouvoir.
Le gouverneur du territoire se situe dans les années d'après la conférence de Bandung. Il s'agit des dernières années des empires coloniaux perçues à travers le représentant du gouvernement métropolitain en Afrique.
Ce roman rend hommage à José Leandro Andrade, qui a marqué les esprits lors de son passage en France en 1924. La publication du livre en 2024 coïncide avec les Jeux Olympiques de Paris, célébrant ainsi le centenaire de cet événement historique.
Avec ce premier roman, Alain Rapon rend manifeste sa passion du récit, son désir d'échapper au tragique comme à la carte postale, et de briser la distance entre le vécu et l'écriture, en tentant de nous restituer le langage et le décor d'aujourd'hui.
Préface de Maryse Condé
Cet ouvrage décrit la vie quotidienne au Soudan français, sous le régime colonial, ainsi que l'influence plus ou moins néfaste qu'exerçaient et que continuent d'exercer les sorciers, féticheurs et autres "connaisseurs des choses cachées", sur la mentalité des populations du Mali profond.
Le Masque de chacal est un ouvrage dans lequel le lecteur serait tenté de voir un tableau fidèle de la vie quotidienne des quinze dernières années au Congo. Tout dans le récit semble inviter à une telle lecture ...
« Soleils invincibles de Bamba Ndiaye est un récit où se disent,
avec retenue et une parfaite maîtrise,
les blessures et les espérances de l’exil. »
(Boubacar Boris Diop - Prix international de littérature Neustadt 2022)
Une jeune femme fortunée s'affranchit peu à peu de l'emprise de son milieu. Sa rencontre accidentelle avec un certain nombre de concitoyens appartenant à d'autres couches sociales lui permet de prendre la juste mesure des obstacles à surmonter pour que la situation du pays s'améliore. Cela lui permet d'agir en conséquence. A lire. (jmv)
« Avec son nouveau roman Fatou Keïta réaffirme avec talent et réalisme son immersion dans la société africaine d'aujourd'hui. On pourrait qualifier le texte de roman social tant les problèmes politiques, culturels et moraux du continent y sont dépeints avec un réalisme et une acuité déjà révélés dans son premier roman Rebelle. ... Elle situe la trame romanesque en Côte d'Ivoire, à la veille du premier coup d'état qui devait marquer profondément le pays. D'autre ingrédients accrocheurs : amour, environnement privilégié, humour également, sont traités dans ce récit captivant.
(Co-édition NEI)
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
Il était une fois - à Médina, dans un quartier moyennement bourgeois de la capitale - un homme qui avait su cristalliser sur lui tous les regards, toutes les amitiés, toutes les envies et toute la considération que confère la possession d'un château, de grandes terres, d'une femme ou d'une voiture de luxe, et cela grâce seulement à sa poubelle.
Djibril Tamsir Niane s'est mis ici à l'écoute de l'Afrique traditionnelle. Les paroles qu'il nous propose sont paroles de griots.
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