

Cet ouvrage déploie en une fresque polyphonique en vers libres les "interrogations" d'un intellectuel africain, confronté à sa mémoire. Les remparts dont il s'agit ici, protègent d'une mémoire possessive et exigeante. Mémoire plurielle aussi. Tout le livre est constitué d'un poème unique organisé en tableaux-partitions, articulé autour de grands moments.
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Cet ouvrage déploie en une fresque polyphonique en vers libres les "interrogations" d'un intellectuel africain, confronté à sa mémoire. Les remparts dont il s'agit ici, protègent d'une mémoire possessive et exigeante. Mémoire plurielle aussi. Tout le livre est constitué d'un poème unique organisé en tableaux-partitions, articulé autour de grands moments.
Hamidou Dia, docteur ès lettres, a été professeur de philosophie dans le secondaire en région parisienne . Il vit a actuellement au Sénégal. Il est l'auteur d'un roman, d'un recueil de poèmes et de plusieurs essais.
Pierre AMROUCHE, c'est la parole qui atteste, avec une brièveté qui touche de plein fouet, auréolée de cette liberté qui rend la vie à la vie, une poésie de soleil fraternel.
"Tu joins les mains devant la mort et la mer t'ouvre les bras."
Rires en attente est plus qu'un recueil de poèmes ou une suite de fragments. Dans ce « long chant polyphonique », Niyi Osundare met en scène diverses formes d'attente dans des circonstances et des lieux très différents où désirs, peurs et rires se font écho, ponctués par des refrains obsédants qui ricochent avec humour ou ironie, irrévérence ou gravité.
L'Afrique venait à peine de conquérir son indépendance. Mais face aux jeux obscurs des forces impérialistes provoquant dans nombre de pays africains, singulièrement au Congo, des antagonismes politiques, des querelles intestines et des luttes tribales, il était devenu difficile à quiconque s'est trouvé mêlé au drame du peuple noir, de garder le silence.
Dans ce livre que l'auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c'est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun! Kamerun!"
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