HISTORIQUE
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Voici neuf histoires qui ont toutes en commun de nous confronter à l’horreur, à des degrés différents, dans des domaines variés. Cinq d’entre elles nous plongent dans la violence brutale. Les autres nouvelles nous confrontent aux ravages du racisme social. Toutes ces nouvelles mettent en scène ou en lumière des sujets dérangeants, révélant différentes formes de barbarie sociale qui s’exercent impunément, sur des enfants, des faibles sans protection ou des représentants d’une sexualité rejetée. Le ton dose savamment humour noir et fausse légèreté.
Illustrations couverture: Estelle Prudent
Jo Güstin est une écrivaine, humoriste, parolière et scénariste panafricaine. Le fil conducteur de ses créations se résume dans le triptyque « décolonisation, intersectionnalité, libération ». Empêcheuse de tourner en rond, elle aborde des sujets sensibles tout en faisant « rire, rêver, réfléchir ». Après le tragicomique 9 Histoires lumineuses paru en 2017 chez Présence Africaine, Jo Güstin clôture seize années de vie en France avec Ah Sissi, il faut souffrir pour être française !, un brillant roman dans le roman, à la croisée de l’essai, de l’autobiographie et de la fiction.
Que dire ? Par où commencer ? Ce livre regroupe 9 histoires qui ont toutes en commun de nous confronter à l'horreur, à des degrés différents, dans des domaines variés. Et je vous garantis que vous n'allez pas être déçu.
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C'est un livre qu'il faut découvrir par soi même, surtout que le résumé ne s'attarde pas vraiment sur les nouvelles.
Je valide et le recommande vivement.
Le chroniqueur raconte le quotidien de l'histoire des hommes, le temps vécu lui-même, cela dont l'historien, en quête d'une intelligibilité plus abstraite, ne parle pas : le fait divers, l'événement singulier, et, plus fugaces encore, ces riens, ces impressions, tristes ou drôles, vagues ou inoubliables, dont une vie est faite, et qui donnent à toute existence humaine, si modeste, si anonyme qu'elle soit, son irréductible gravité. J. B. Tati Loutard, en cette douzaine de nouvelles - genre par excellence de la litote - rend manifeste, par la maîtrise de la plus discrète et la plus juste des écritures, une authentique sensibilité à ce qui constitue le pathétique de toute existence, qu'elle soit celle du riche ou du pauvre, de l'accablé ou du puissant ; il apporte aussi, sur le monde congolais, un document plein de tendresse et de lucidité.
Dans ce premier roman publié sous le pseudonyme d'Eza Boto, le lecteur découvrira, tracés avec une force qui s'accomplira exemplairement dans les œuvres postérieures, fort célèbres, de Mongo Béti, les drames d'une Afrique dominée, ceux qui opposent les humbles, les simples, les paysans, aux différents types d'exploiteurs du monde politique, économique et religieux.
La magie d'un temps, de lieux et d'histoires tenant de l'ineffable…Des récits, des nouvelles, presque des contes vécus, restitués ennoblis par la mémoire d'une enfance passée en Haïti. Des personnages colorés et des souvenirs capiteux, le monde enchanteur de Jacqueline-Scott Lemoine.
Grand classique de la littérature antillaise, dans lequel Joseph ZOBEL, à travers le récit de sa propre enfance, nous décrit la Martinique des années 30, en peignant avec la mémoire du cœur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.
La Chorale des mouches c'est l'histoire de Ben, pousse-pousseur de son état. C'est aussi l'histoire d'Elloën-Marcy et des deux Chancelvie.
Le roman se passe à Saint-Louis-du-Sénégal durant l'époque coloniale. Il raconte une courte période de la vie de Nini : sa rencontre avec un Blanc qui lui promet le mariage.
Ce roman rend hommage à José Leandro Andrade, qui a marqué les esprits lors de son passage en France en 1924. La publication du livre en 2024 coïncide avec les Jeux Olympiques de Paris, célébrant ainsi le centenaire de cet événement historique.
Dès sa parution, "un Nègre à Paris" annonçait une ouverture de la conscience africaine sur le monde occidental que Bernard Dadié devait par la suite, enrichir dans "Patron de New York" et "La ville où nul ne meurt".
FORMAT POCHE
Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
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