HISTORIQUE
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Voici neuf histoires qui ont toutes en commun de nous confronter à l’horreur, à des degrés différents, dans des domaines variés. Cinq d’entre elles nous plongent dans la violence brutale. Les autres nouvelles nous confrontent aux ravages du racisme social. Toutes ces nouvelles mettent en scène ou en lumière des sujets dérangeants, révélant différentes formes de barbarie sociale qui s’exercent impunément, sur des enfants, des faibles sans protection ou des représentants d’une sexualité rejetée. Le ton dose savamment humour noir et fausse légèreté.
Illustrations couverture: Estelle Prudent
Jo Güstin est une écrivaine, humoriste, parolière et scénariste panafricaine. Le fil conducteur de ses créations se résume dans le triptyque « décolonisation, intersectionnalité, libération ». Empêcheuse de tourner en rond, elle aborde des sujets sensibles tout en faisant « rire, rêver, réfléchir ». Après le tragicomique 9 Histoires lumineuses paru en 2017 chez Présence Africaine, Jo Güstin clôture seize années de vie en France avec Ah Sissi, il faut souffrir pour être française !, un brillant roman dans le roman, à la croisée de l’essai, de l’autobiographie et de la fiction.
Que dire ? Par où commencer ? Ce livre regroupe 9 histoires qui ont toutes en commun de nous confronter à l'horreur, à des degrés différents, dans des domaines variés. Et je vous garantis que vous n'allez pas être déçu.
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C'est un livre qu'il faut découvrir par soi même, surtout que le résumé ne s'attarde pas vraiment sur les nouvelles.
Je valide et le recommande vivement.
Grand classique de la littérature antillaise, dans lequel Joseph ZOBEL, à travers le récit de sa propre enfance, nous décrit la Martinique des années 30, en peignant avec la mémoire du cœur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
Il s'agit de la rencontre entre deux hommes : Georges et Pierre. L'un est un être ordinaire et l'autre, un prêtre. Ce que tente ici de réaliser Moussa Konaté, dans son deuxième roman et d'une façon originale, c'est de situer la rencontre, non point au niveau de l'opposition religieuse, mais davantage au niveau de la confrontation mentale...
La narratrice, Salimatou, qui finit de purger une longue peine de prison, se décide enfin à écrire à son ami d'enfance de toujours, Serge, pour lui avouer les raisons de ce long silence
A travers ce recueil, chaque auteur ouvre une fenêtre sur Haïti, avec un texte pour des lecteurs aux yeux ouverts, qui ne vivent pas forcément au pays, mais qui voudraient connaître autre chose que les images prévisibles _ de violence, de coups d'Etat, ou d'ouragan dévastateur _ étalées dans la presse internationale. Une journée haïtienne est à sa manière, une invitation au voyage, réel ou imaginaire. Loin d'être un guide touristique, ou une chronique de voyage, il évoque soudé au quotidien, l'imaginaire collectif haïtien. Auteurs : Marie-Célie AGNANT / Georges ANGLADE / Bonel AUGUSTE / Mimi BARTHELEMY / Dominique BATRAVILLE / Gérald BLONCOURT / Jean-Marie BOURJOLLY / Georges CASTERA / Syto CAVE / Raymond CHASSAGNE / Pierre CLITANDRE / Louis-Philippe DALEMBERT / Edwige DANTICAT / Joël DES ROSIERS / Jan J. DOMINIQUE / Gérard ETIENNE / Jessica FIEVRE / Jean-Claude FIGNOLE / Odette ROY FOMBRUN / FRANKETIENNE / Geneviève GAILLARD-VANTE / Gary KLANG / Danny LAFERRIERE / Yanick LAHENS / Josaphat-Robert LARGE / Jean-Robert LEONIDAS / Kettly MARS / Stéphane MARTELLY / Michel MONNIN / James NOEL / Margaret PAPILLON / Roland PARET / Claude C. PIERRE / Paulette POUJOL ORIOL / Emmeline PROPHETE / Guy Junior REGIS / Rodney SAINT-ELOI / Evelyne TROUILLOT / Lionel TROUILLOT / Gary VICTOR
PRIX ETHIOPHILE 2022..
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