L’auteur de cet essai est d’avis que « la jeunesse doit se politiser et prendre toute sa part dans le combat qui sied au continent en vue de l’émanciper, de le libérer et de le faire figurer pleinement dans la modernité. Se politiser commence par l’indignation, puis l’engagement pour les causes justes dont nos pays ne peuvent plus se soustraire. Il existe un capital culturel et symbolique, et des motifs d’indignation pour vouloir transformer le réel et proposer des pistes d’un futur de progrès ».
Hamidou Anne est né en 1983 à Dakar. Ancien élève de l’ENA, il prépare une thèse en sciences politiques à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal). Panser l’Afrique qui vient ! est son premier livre.
M. M. DIABATÉ traduit fidèlement dans ce recueil les belles chansons des aèdes, dont il descend. Il s'agit de chants épiques et de chants populaires des pays de la savane. Janjon, qui donne son nom à ce recueil, est un chant appartenant au cycle épique de Soundjata.
La rétrocession de Hongkong à la Chine intervient à un moment où la Chine connaît un développement économique extraordinaire mais disparate. Ce livre éclaire l'enjeu fondamental que représente l'avenir de Hongkong pour une région asiatique en pleine mutation.
Avec la misère qui s'accroît sur le continent africain, s'élargit le spectre des conflits et des maladies, mais on assiste aussi à une dangereuse détérioration du cadre de vie, fragilisant de plus en plus de monde.
Préface de Joseph Ki-Zerbo. Abdou Moumouni dresse d'abord un bilan historique : il rappelle ce que fut le système d'éducation traditionnel et ce qu'il supposait d'humanisme spécifiquement africain. Il expose ensuite les données du système d'éducation tel qu'il fut appliqué sous le régime colonial. Il trace ensuite en détail les lignes d'un véritable système d'enseignement, qui tienne compte à la fois des caractères traditionnels africains et des nécessités urgentes de l'essor que doivent prendre les pays d'Afrique. En rédigeant ce plan immédiatement applicable, l'auteur apporte ainsi à la cause de l'indépendance africaine une contribution capitale.
Lorsqu'au XIIIe siècle, Madagascar reçut son nom de l'explorateur vénitien Marco Polo, il est fort probable que ce nom ait été le résultat d'une erreur d'interprétation. ...
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