
Sous la direction de Mamadou Diawara, Mamadou Diouf et Jean-Bernard Ouédraogo
TEXTES REUNIS PAR
Charles Becker, Roland Colin, Liliane Daronian et Claude-Hélène Perrot
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Yves Person, né en 1925, historien, professeur à l’Université Paris I, Panthéon–Sorbonne, est décédé brutalement en 1982, laissant une oeuvre de première importance. Artisan résolu d’une « histoire africaine de l’Afrique », selon l’expression de Georges Balandier, il s’y est engagé en donnant la parole aux acteurs de l’histoire, dans leur contexte social et leur culture. Il rompait ainsi avec l’historiographie coloniale, marquée par l’idéologie de l’Etat-nation coupé des peuples. Son oeuvre majeure, Samori, une révolution dyula, (1968, 1970, 1975), en a été l’expression internationalement reconnue. De nombreux écrits, articles de revues, actes de colloques, dont l’accès est souvent malaisé, ont éclairé bien au‐delà son apport scientifique et ses engagements militants. À la suite d’un colloque international consacré à son oeuvre, tenu à Paris en juin 2013, Présence Africaine, invitant à « Relire Yves Person », présente une sélection de textes importants rassemblés par un groupe éditorial scientifique, qui rejoint au plus vif les problèmes du présent, à l’heure où se cherchent de nouveaux équilibres entre les identités sociales et culturelles et la solidarité mondiale.
Ouvrages écrits collectivement.
Sous la direction de Mamadou Diawara, Mamadou Diouf et Jean-Bernard Ouédraogo
Actes du colloque organisé à l'occasion du 90e anniversaire d'Aimé Césaire, à Fort-de-FRANCE, du 24 au 26 juin 2003. Les Actes de ce colloque, organisé à l'initiative du Centre césairien d'études et de recherches (CCER), qui a réuni des écrivains et des chercheurs du monde entier, contiennent l'ensemble des discours et communications prononcés lors de cet événement, entre autres sur le thème de l'humanisme et de l'historicité de l'illustre poète, ainsi que sur l'évolution du concept de négritude.
Présence Africaine a fêté ses cinquante ans par l'organisation d'un premier colloque à Dakar, autour du thème général de Bilan critique et Perspectives.
La collection " Culture et Religion " veut être le carrefour où doit pouvoir s'instaurer de façon permanente le dialogue entre culture africaine et religions, entre l'Afrique et le génie spirituel des Eglises, entre les valeurs économiques, matérielles et les valeurs spirituelles. Elle voudrait permettre à l'Afrique d'affronter ce dialogue avec une profonde conscience de sa vision propre du monde dans sa globalité. Elle voudrait que le " dialogue " religieux imposé à l'Afrique par les Eglises, à la faveur de la colonisation, devienne effectif entre la conscience africaine (conscience politique, culturelle, économique, morale et spirituelle) et le génie spirituel des Eglises. C'est à cette tâche essentiellement que s'attellent les différentes publications de cette collection. Œuvre de ressourcement et de confrontation, mais aussi œuvre de construction ou de reconstruction, cette collection ne peut épargner aucun aspect susceptible d'influencer en bien ou en mal cette cohérence interne de l'Afrique de toujours.
Pensée à l'intention des étudiants, des maîtres et de tous les amateurs de la littérature négro-africaine, la collection Comprendre ouvre à la compréhension fructueuse soit d'un auteur, soit d'un genre, soit d'un courant littéraire.
(Réimpression de l'édition de 1993)
LES PÉPITES PRÉSENCE AFRICAINE
LES PÉPITES PRÉSENCE AFRICAINE
Cahiers Présence Africaine
Cahiers Présence Africaine
Cahiers Présence Africaine
Avec la misère qui s'accroît sur le continent africain, s'élargit le spectre des conflits et des maladies, mais on assiste aussi à une dangereuse détérioration du cadre de vie, fragilisant de plus en plus de monde.
A l'occasion de l'exposition Les statues meurent aussi – Ode au grand art africain, organisée du 9 septembre au 2 octobre 2010, à la Monnaie de Paris, par l'association Parcours des Mondes, Présence Africaine Éditions et la Communauté Africaine de Culture ont décidé de réimprimer l'ouvrage L'art nègre, qui avait été publié en 1951.
M. M. DIABATÉ traduit fidèlement dans ce recueil les belles chansons des aèdes, dont il descend. Il s'agit de chants épiques et de chants populaires des pays de la savane. Janjon, qui donne son nom à ce recueil, est un chant appartenant au cycle épique de Soundjata.
Une approche de la mythologie dogon qui emprunte sa méthode à l'anthropologie structurale.
Lorsqu'au XIIIe siècle, Madagascar reçut son nom de l'explorateur vénitien Marco Polo, il est fort probable que ce nom ait été le résultat d'une erreur d'interprétation. ...
Prix littéraire Louis Malassis 2010
De 1959, date des Indépendances des territoires de l'Afrique occidentale française, à aujourd'hui, des milliers de familles paysannes de douze Etats ont construit leur mouvement, le Réseau des Organisations Paysannes et des Producteurs d'Afrique de l'Ouest (ROPPA). On parle aujourd'hui beaucoup des Organisations Paysannes (OP) structurées du village au niveau national et dans les reseaux couvrant plusieurs pays. Mais, ce ne sont pas des initiatives tombées du ciel. Elles ont leur histoire. Ce livre la raconte.
VERSION ANGLAISE
Bekolo-Ebe Bruno oblige les économistes internationalistes à élargir leur vision et leur étude de l'efficacité de l'aide en intégrant dans leur théorie de l'endettement extérieur la perspective des sous-développés partenaires et même bénéficiaires présumés de cette aide et donc responsables principaux de ses conséquences, dont l'endettement est l'une des plus manifestes.
Comme un atome qui se détache de la matière, l'Afrique dans un élan de libération opère des mouvements disparates similaires à une révolution galaxique.
Le présent ouvrage aborde des thèmes très différents ce ne sont en fait que les niveaux successifs d'une même réalité. Ce rythme syncopé, ces brusques changements de ton et de thèmes, ont pour but de traduire les pulsions désordonnées d'un monde dans lequel sont plongés les peuples noirs et auquel ils réagissent. La première partie est liée à mon activité de reporter, qui m'a fait toucher, au Soudan et à Harlem, un des fonds de la tragédie des peuples noirs ; par ce contact et cette communion, j'ai compris que la dimension particulière de notre monde ne peut être appréciée aux étalonnages des autres aires de civilisation.
La seconde et la troisième partie en découlent : c'est un essai, un regard porté sur la trajectoire originale de notre monde lancé dans la course des temps actuels. Une nouvelle Afrique est en train de naître. Dans la dernière partie, je réponds aux questions qui m'ont souvent été posées en fonction de mes écrits antérieurs et de mon engagement vis-à-vis de mon pays durant les dix dernières années.
L'insigne mérite de Dominique TRAORE est de révéler dans cet ouvrage, l'étroite relation qui existe entre l'Africain et son environnement.
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