HISTORIQUE
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Jeunes et dynamiques, Zahara, Karimène, Mélissa, et les autres appartiennent à différentes communautés du melting pot marseillais.
Cadre supérieure ou caissière de supermarché, elles éprouvent toutes une sorte de mal-être. Elles sont décrites dans une tranche de vie : celle-ci, le matin, alors qu’elle reçoit un appel téléphonique de sa mère repartie aux Comores, celle-là, le soir de ses trente ans, ou encore cette autre prise du désir de rompre la routine et de faire un voyage…
Toutes se cherchent et essaient d’échapper aux problèmes liés à la maternité, au couple, à la tradition. Elles tentent ainsi de satisfaire leurs besoins d’évasion, de liberté, de création… Le texte évoque, pour chacune d’elles, un moment particulier. Il se termine par une réunion de « copines » ayant atteint la quarantaine et qui, le temps d’une rencontre, vont partager leurs souvenirs, leurs joies et leurs peines.
Fathia Radjabou est née à Moroni (Comores). Agrégée d’économie, elle enseigne dans un lycée de la région parisienne. Je ne sais pas quoi faire de ma vie est sa première oeuvre publiée
Le peuple d'un pays d'Afrique se tourne vers le pouvoir occulte des ancêtres pour se débarrasser de son dictateur en le transformant en âne. Exclu du monde des humains, le tyran est précipité dans l'univers des bêtes.
Six amis d'enfance se retrouvent après avoir pris des voies différentes. L'un d'eux, Basile, a émigré. Ceux qui sont restés au pays ne se voient plus que rarement, les uns et les autres n'étant plus du même milieu. ...
Sabine Denoblecourt était une jeune femme blanche qu'un secret de famille avait condamnée à une haine implacable de l'homme noir. Mais un jour elle tomba éperdument amoureuse d'un jeune africain.
Quelque part en Afrique…
Une manifestation populaire, hostile au pouvoir en place. Une balle meurtrière qui va infléchir le destin d’un jeune homme. C’est à une formidable odyssée vengeresse, riche en rebondissements que nous convie l’auteur de ce surprenant récit. C’est aussi, sur fond de guerre civile, le tableau d’une société rongée par la misère et ses conséquences : exploitation, répression, corruption …
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
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