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HISTORIQUE
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Nourredine Aba, également orthographié Noureddine, est un écrivain, poète et dramaturge algérien né le 16 novembre 1921 à Colbert (actuelle Aïn Oulmene), dans la wilaya de Sétif, et décédé le 19 septembre 1996 à Paris. Après des études de droit à la faculté d'Alger, il est mobilisé durant la Seconde Guerre mondiale, participant aux campagnes d'Italie et de France. Il devient ensuite journaliste, ce qui lui permet notamment d’assister au procès de Nuremberg. Il débute sa carrière littéraire en collaborant à la revue Présence africaine avant de se consacrer pleinement à l’écriture. Proche de Kateb Yacine qu’il rencontre au lycée de Sétif, il partage avec lui un engagement littéraire et politique profond. Plusieurs de ses pièces sont jouées en Europe, dont Une si grande espérance, mise en scène par Nasser-Edine Boucheqif, avec des comédiens ayant fui les violences en Algérie. Malgré des problèmes de santé graves et des menaces pesant sur lui, Aba assiste aux représentations de ses œuvres. Il enseigne également la littérature algérienne à l’université de l’Illinois à Urbana-Champaign et donne des conférences dans plusieurs universités occidentales. En 1990, il crée la Fondation Aba, qui récompense chaque année des écrivains ; le premier lauréat en 1992 est Tahar Djaout, assassiné peu après. Aba, membre de l’Académie des sciences d’outre-mer, reçoit en 1991 le Grand Prix de la francophonie pour l’ensemble de son œuvre.
" Après Déjà le sol est semé, Le Tombeau transparent et Le Chant de Sama N'déye, Léopold Congo-Mbemba nous offre ici son quatrième recueil de poèmes [...]. Ténors-Mémoires est un recueil qui exsude la sensibilité, la maturité et la maîtrise littéraire, [...] qui est tout d'émotions, d'amour, d'humanité et de significations, traversé de part en part de beauté et de Négritude, un texte qui nous raconte le Nègre, l'homme. Et, que Ténors-Mémoires soit dédié à Damas, à Senghor et à Césaire n'est pas anodin, est signe de ce qu'il contient, de (esprit qui l'anime. " (Extrait de la préface)
Voici, réunie pour la première fois, la somme poétique de Jean-Baptiste Tati Loutard. Son univers poétique - auquel la préface d'Ariette Chemain introduit par ailleurs admirablement - ne manqua pas de séduire Senghor, lui-même, qui y reconnaissait la marque d'un grand talent.
Francophone, Jean-Baptiste Tati Loutard est également apprécié des anglophones qui lui ont décerné, en 1987, le «All Africa Okigbo Prize for Poetry», prix créé par Wole Soyinka.
Avec, La Vie poétique, ensemble de maximes, le grand public découvrira aussi une réflexion sur l'art et la création poétique.
Écrivain du Congo-Brazzaville, sa poésie a été saluée en 1998, à Asilah (Maroc) par le Jury du Prix africain de poésie «Tchicaya U Tarn si». Il a, par ailleurs, été distingué par l'Académie française, en 1992, avec la médaille de vermeil du Rayonnement de la langue française, pour l'ensemble de son oeuvre.
Ce recueil de poèmes est consacré à Amélia NENE, l'épouse du poète, disparue en 1996. On retrouve dans ce recueil le réseau d'obsessions du poète : la mer, la femme, la mort, le sentiment tragique de la vie.
Malgré le pessimisme manifeste dans sa poésie, A. NENE sait apprécier le bon côté de la vie. Elle exalte le phénomène de la maternité comme un défi à la mort.
L'Ordre des Phénomènes, suivi des Feux de la Planète, célèbre dans un climat solaire la femme, songe immortel incarné dans un limon tendre : " Ton corps est le seul éclair qui jaillit Sans que le temps soit à la pluie.
Pierre AMROUCHE, c'est la parole qui atteste, avec une brièveté qui touche de plein fouet, auréolée de cette liberté qui rend la vie à la vie, une poésie de soleil fraternel.
Ses poèmes ont le parfum subtil du Cantique des Cantiques. Et aussi l'accent des poèmes de Tagore, c'est-à-dire qu'ils sont les fleurs naturelles d'une terre de poésie, de la terre du nard et de l'encens : des orchidées parfumées... Ils expriment l'essence même de l'amour..." (Léopold Sédar Senghor).
L'Afrique venait à peine de conquérir son indépendance. Mais face aux jeux obscurs des forces impérialistes provoquant dans nombre de pays africains, singulièrement au Congo, des antagonismes politiques, des querelles intestines et des luttes tribales, il était devenu difficile à quiconque s'est trouvé mêlé au drame du peuple noir, de garder le silence.
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