-
Home
- Actualités add remove
- Nouveautés
-
Catalogue
add remove
- La Revue add remove
- Cartes cadeaux
- Autres éditeurs add remove
- Auteurs
- Présence Africaine add remove
- URPA add remove
-
HISTORIQUE
-
Home
- Actualités add remove
- Nouveautés
-
Catalogue
add remove
- La Revue add remove
- Cartes cadeaux
- Autres éditeurs add remove
- Auteurs
- Présence Africaine add remove
- URPA add remove
-
HISTORIQUE
Livraison partout dans le monde
Port offert en Europe à partir de 30€
Retrait gratuit à Paris
Paiement sécurisé
Sikhé Camara, né en 1921 à Boké, est un juriste, professeur de droit, homme politique et poète guinéen. Il occupe plusieurs postes ministériels sous le régime de Sékou Touré, notamment ceux de ministre de l'Éducation supérieure et de ministre de la Justice. Parallèlement à sa carrière politique, il publie plusieurs recueils de poésie engagée, tels que Poèmes de combat et de vérité (1967), Clairière dans le ciel (1973) et Somme de la poésie guinéenne de combat (1980). Après le coup d'État de 1984, il est emprisonné, puis relâché sous le régime de Lansana Conté, reprenant par la suite sa carrière de juriste.
Thank you for the reviews ! Your comment is submitted
0 autres livres du même auteur
16 autres livres dans la même catégorie :
" Et nous sommes debout maintenant, mon pays et moi, les cheveux dans le vent, ma main petite maintenant dans son poing énorme et la force n'est pas en nous, mais au-dessus de nous, dans une voix qui vrille la nuit et l'audience comme la pénétrance d'une guêpe apocalyptique...
L'Afrique venait à peine de conquérir son indépendance. Mais face aux jeux obscurs des forces impérialistes provoquant dans nombre de pays africains, singulièrement au Congo, des antagonismes politiques, des querelles intestines et des luttes tribales, il était devenu difficile à quiconque s'est trouvé mêlé au drame du peuple noir, de garder le silence.
Malgré le pessimisme manifeste dans sa poésie, A. NENE sait apprécier le bon côté de la vie. Elle exalte le phénomène de la maternité comme un défi à la mort.
Préface de Daniel Maximin - Peintures de Joël Nankin
Pierre AMROUCHE, c'est la parole qui atteste, avec une brièveté qui touche de plein fouet, auréolée de cette liberté qui rend la vie à la vie, une poésie de soleil fraternel.
Version bilingue
Dans ce livre que l'auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c'est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun! Kamerun!"