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HISTORIQUE
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Sikhé Camara, né en 1921 à Boké, est un juriste, professeur de droit, homme politique et poète guinéen. Il occupe plusieurs postes ministériels sous le régime de Sékou Touré, notamment ceux de ministre de l'Éducation supérieure et de ministre de la Justice. Parallèlement à sa carrière politique, il publie plusieurs recueils de poésie engagée, tels que Poèmes de combat et de vérité (1967), Clairière dans le ciel (1973) et Somme de la poésie guinéenne de combat (1980). Après le coup d'État de 1984, il est emprisonné, puis relâché sous le régime de Lansana Conté, reprenant par la suite sa carrière de juriste.
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" Après Déjà le sol est semé, Le Tombeau transparent et Le Chant de Sama N'déye, Léopold Congo-Mbemba nous offre ici son quatrième recueil de poèmes [...]. Ténors-Mémoires est un recueil qui exsude la sensibilité, la maturité et la maîtrise littéraire, [...] qui est tout d'émotions, d'amour, d'humanité et de significations, traversé de part en part de beauté et de Négritude, un texte qui nous raconte le Nègre, l'homme. Et, que Ténors-Mémoires soit dédié à Damas, à Senghor et à Césaire n'est pas anodin, est signe de ce qu'il contient, de (esprit qui l'anime. " (Extrait de la préface)
"L'étreinte de mes bras a reconquis l'ivresse des temps voués jadis à nos rites premiers..."
« Je suis un Métis culturel fier de conjuguer l'émotion arabo-berbère et la raison blanche » proclame ce Kabyle « senghorisé ». Derrière une allure discrète et racée, Pierre Amrouche porte en lui, à l'infini, une entaille féminine où se croisent et s'enlacent, des êtres à parenté cachée, toujours à l'écoute des intuitions, d'où qu'elles viennent, de toutes les longitudes et de toutes les latitudes
Dans ce livre que l'auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c'est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun! Kamerun!"
"Tu joins les mains devant la mort et la mer t'ouvre les bras."
Ses poèmes ont le parfum subtil du Cantique des Cantiques. Et aussi l'accent des poèmes de Tagore, c'est-à-dire qu'ils sont les fleurs naturelles d'une terre de poésie, de la terre du nard et de l'encens : des orchidées parfumées... Ils expriment l'essence même de l'amour..." (Léopold Sédar Senghor).