M. M. DIABATÉ traduit fidèlement dans ce recueil les belles chansons des aèdes, dont il descend. Il s'agit de chants épiques et de chants populaires des pays de la savane. Janjon, qui donne son nom à ce recueil, est un chant appartenant au cycle épique de Soundjata.
M. M. DIABATÉ traduit fidèlement dans ce recueil les belles chansons des aèdes, dont il descend. Il s'agit de chants épiques et de chants populaires des pays de la savane. Janjon, qui donne son nom à ce recueil, est un chant appartenant au cycle épique de Soundjata.
Dès l'âge de 7 ans, le jeune griot débute son éducation traditionnelle orale aux côtés de son père. A 21 ans, il récite, comme le veut la coutume, le geste de Soundjata, passage obligé pour valider cette première période d'éducation qui l'autorise ensuite à aller parfaire son savoir auprès d'autres maîtres. Mais Massa Makan Diabate entre à l'école moderne française, il poursuit des études universitaires en obtenant un diplôme d'Histoire et surtout se sent plus à l'aise à l'écrit qu'à l'oral, d'où sa décision de mettre fin à son apprentissage. On n'est donc pas étonné de voir que ses premiers textes sont des traductions françaises de textes oraux tels épopées ou contes. Plus tard, l'auteur publie des oeuvres romanesques, évoquant toujours cet attachement de la culture africaine pour la sauvegarde de l'oralité. Le jour de son décès, l'auteur Kélé Monson Diabaté dira à son sujet 'Il n'est pas juste que le fruit vert tombe avant le fruit mûr'. Un grand sage s'en est allé mais en parvenant à transmettre ses connaissances grâce à de nombreux ouvrages
C'est à travers six chapitres alimentés par des vignettes cliniques, que l'auteur essaie de parler de la sexualité en Afrique et plus particulièrement au Sénégal.
Avec la misère qui s'accroît sur le continent africain, s'élargit le spectre des conflits et des maladies, mais on assiste aussi à une dangereuse détérioration du cadre de vie, fragilisant de plus en plus de monde.
La rétrocession de Hongkong à la Chine intervient à un moment où la Chine connaît un développement économique extraordinaire mais disparate. Ce livre éclaire l'enjeu fondamental que représente l'avenir de Hongkong pour une région asiatique en pleine mutation.
Les Yoruba tout comme les Haoussa les Peulh ou les Malinké... ont depuis plusieurs siècles marqué l'Afrique de l'ouest par leur présence dans les principaux nœuds commerciaux à travers de longs déplacements. Que reste-t-il aujourd'hui des communautés issues de ces déplacements, comment façonnent-elles les pays d'accueil sur le plan culturel et économique ? Telles sont les questions auxquelles le présent ouvrage tente d'apporter des réponses.le texte de cet ouvrage est en français et en anglais
Préface de Joseph Ki-Zerbo. Abdou Moumouni dresse d'abord un bilan historique : il rappelle ce que fut le système d'éducation traditionnel et ce qu'il supposait d'humanisme spécifiquement africain. Il expose ensuite les données du système d'éducation tel qu'il fut appliqué sous le régime colonial. Il trace ensuite en détail les lignes d'un véritable système d'enseignement, qui tienne compte à la fois des caractères traditionnels africains et des nécessités urgentes de l'essor que doivent prendre les pays d'Afrique. En rédigeant ce plan immédiatement applicable, l'auteur apporte ainsi à la cause de l'indépendance africaine une contribution capitale.
Lorsqu'au XIIIe siècle, Madagascar reçut son nom de l'explorateur vénitien Marco Polo, il est fort probable que ce nom ait été le résultat d'une erreur d'interprétation. ...
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