M. M. DIABATÉ traduit fidèlement dans ce recueil les belles chansons des aèdes, dont il descend. Il s'agit de chants épiques et de chants populaires des pays de la savane. Janjon, qui donne son nom à ce recueil, est un chant appartenant au cycle épique de Soundjata.
M. M. DIABATÉ traduit fidèlement dans ce recueil les belles chansons des aèdes, dont il descend. Il s'agit de chants épiques et de chants populaires des pays de la savane. Janjon, qui donne son nom à ce recueil, est un chant appartenant au cycle épique de Soundjata.
Dès l'âge de 7 ans, le jeune griot débute son éducation traditionnelle orale aux côtés de son père. A 21 ans, il récite, comme le veut la coutume, le geste de Soundjata, passage obligé pour valider cette première période d'éducation qui l'autorise ensuite à aller parfaire son savoir auprès d'autres maîtres. Mais Massa Makan Diabate entre à l'école moderne française, il poursuit des études universitaires en obtenant un diplôme d'Histoire et surtout se sent plus à l'aise à l'écrit qu'à l'oral, d'où sa décision de mettre fin à son apprentissage. On n'est donc pas étonné de voir que ses premiers textes sont des traductions françaises de textes oraux tels épopées ou contes. Plus tard, l'auteur publie des oeuvres romanesques, évoquant toujours cet attachement de la culture africaine pour la sauvegarde de l'oralité. Le jour de son décès, l'auteur Kélé Monson Diabaté dira à son sujet 'Il n'est pas juste que le fruit vert tombe avant le fruit mûr'. Un grand sage s'en est allé mais en parvenant à transmettre ses connaissances grâce à de nombreux ouvrages
Les Yoruba tout comme les Haoussa les Peulh ou les Malinké... ont depuis plusieurs siècles marqué l'Afrique de l'ouest par leur présence dans les principaux nœuds commerciaux à travers de longs déplacements. Que reste-t-il aujourd'hui des communautés issues de ces déplacements, comment façonnent-elles les pays d'accueil sur le plan culturel et économique ? Telles sont les questions auxquelles le présent ouvrage tente d'apporter des réponses.le texte de cet ouvrage est en français et en anglais
Préface de Joseph Ki-Zerbo. Abdou Moumouni dresse d'abord un bilan historique : il rappelle ce que fut le système d'éducation traditionnel et ce qu'il supposait d'humanisme spécifiquement africain. Il expose ensuite les données du système d'éducation tel qu'il fut appliqué sous le régime colonial. Il trace ensuite en détail les lignes d'un véritable système d'enseignement, qui tienne compte à la fois des caractères traditionnels africains et des nécessités urgentes de l'essor que doivent prendre les pays d'Afrique. En rédigeant ce plan immédiatement applicable, l'auteur apporte ainsi à la cause de l'indépendance africaine une contribution capitale.
Avec la misère qui s'accroît sur le continent africain, s'élargit le spectre des conflits et des maladies, mais on assiste aussi à une dangereuse détérioration du cadre de vie, fragilisant de plus en plus de monde.
Les Mitsogho, peuple du Gabon central, se distinguent par une grande richesse culturelle. Cet ouvrage nous dévoile leur très important patrimoine ésotérique, contenu dans quelque douze sociétés et corporations initiatiques masculines et féminines, y compris diverses pratiques religieuses.
Bekolo-Ebe Bruno oblige les économistes internationalistes à élargir leur vision et leur étude de l'efficacité de l'aide en intégrant dans leur théorie de l'endettement extérieur la perspective des sous-développés partenaires et même bénéficiaires présumés de cette aide et donc responsables principaux de ses conséquences, dont l'endettement est l'une des plus manifestes.
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