HISTORIQUE
HISTORIQUE
FORMAT POCHE
Livraison partout dans le monde
Port offert en Europe à partir de 30€
Retrait gratuit à Paris
Paiement sécurisé
Le destin de l’ex-Congo belge, devenu le Zaïre sous la dictature de Mobutu durant 32 ans, reconquis par J.-D. Kabila en 1997 et rebaptisé République Démocratique du Congo, replace au premier plan la figure emblématique de Patrice Lumumba. Ce héros de l’indépendance, vite abattu, est révélé ici par ses écrits. Jean Van Lierde est un militant pacifiste belge né le 15 février 1926 à Charleroi et mort le 15 décembre 2006.
Jean Van Lierde est un militant pacifiste belge né le 15 février 1926 à Charleroi et mort le 15 décembre 2006.
Il a été président de la branche belge du Mouvement international de la Réconciliation (MIR/IFOR), de l'Internationale des résistants à la guerre (IRG - WRI), du "Bureau Européen de l'Objection de Conscience (BEOC)", ainsi que fondateur puis secrétaire général du "Centre de recherche et d'information socio-politique (CRISP)" et co-fondateur du "Comité National d'Action pour la Paix et le Développement", devenu la "Coordination Nationale pour la Paix et la Démocratie (CNAPD)".
Cet homme profondément humain et non-violent est resté anti-militariste toute sa vie. Il a joué un rôle important dans la reconnaissance du statut d'objecteur de conscience en Belgique et s'est efforcé de traduire son « engagement non-violent dans une réalité communautaire, collective et internationaliste ».
C'est ainsi qu'il s'est engagé dans la lutte d'indépendance du Congo belge. Pendant la formation du premier gouvernement congolais en 1960, il fut l’intermédiaire entre Patrice Lumumba et le gouvernement belge.
Penseur autant qu’homme d’action, Jean Van Lierde écrivait : « Il faut un maximum de culture politique pour être un militant non-violent et anti-militariste ».
Gabriel Lisette, Administrateur de la France d'Outre-Mer, d'origine antillaise, est arrivé à Brazzaville en 1944, quelques mois après la Conférence de Brazzaville de janvier-février 1944 où le Général de Gaulle, René Pleven et le Gouverneur général Eboué avaient proclamé l'urgence de rapports nouveaux entre la France et ses colonies.
Où va l'Algérie ? La question posée il y a plus de trente ans par Mohamed Boudiaf a survécu à son auteur et concentre à elle seule toutes les interrogations suscitées par la situation dramatique que connaît le pays...
Une étude de linguistique historique et comparative sur les rapports entre l'égyptien pharaonique et plusieurs langues africaines. L'étude est précédée d'un exposé sur les principes méthodologiques de la linguistique historique. L'ouvrage est illustré de cartes, de photos d'objets ainsi que de nombreux dessins d'hiéroglyphes.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Lazare V. KI-ZERBO et Jean-Jacques N. SENE
FORMAT POCHE
Le Kènèdougou, « pays de la lumière », est le nom du royaume qui, dans les marches historiques de l'ancien empire du Mali, a mené le combat ultime contre l'armée coloniale française.
La vie d'Abraham Hanibal est un véritable roman d'aventures. Enlevé de Logone au nord de l’actuel Cameroun en 1703, Abraham Hanibal (1696-1781) devient page du sultan ottoman Ahmed III à Constantinople. Il est converti à l'islam et reçoit le prénom d'Ibrahim. Mais à la fin de l'année 1704, il est conduit clandestinement en Russie à la Cour du tsar Pierre le Grand avec la complicité de son ambassadeur Pierre Tolstoï.
L'enfant noir, rebaptisé Abraham et converti à la religion russe orthodoxe, devient le fils adoptif puis un proche collaborateur du tsar. De 1717 à 1723, il est envoyé en France où il obtient son diplôme d'ingénieur militaire et le grade de capitaine d'armée. Deux ans après la mort de Pierre le Grand en 1725, il est exilé dans l'enfer sibérien par le prince Menchikov. Par bonheur, l'impératrice Anne le fait revenir trois ans plus tard lorsqu'elle monte sur le trône...
Toutes les recherches scientifiques que Cheikh Anta Diop a menées depuis quelques décennies sur les fondements historiques de la civilisation africaine culminent en cet ouvrage capital, affirmation de l'identité nègre, dont le titre marque avec force l'enjeu : CIVILISATION OU BARBARIE.
Au procès de Klaus Barbie, à Lyon, en 1987, l'espèce humaine tout entière était supposée partie civile.
[. ] Pour l'accusation, pour les parties civiles, pour les témoins à charge, pour tous ceux qui, dans la presse ou dans la grande salle du Palais de justice, attendaient, réclamaient et applaudirent la condamnation, l'ancien SS n'était rien de moins que la figure emblématique du Mal...
Personnages légendaires, à l'origine d'un royaume ou d'un héros, reines, mères, prophétesses ou mêmes victimes, les femmes apparaissent en filigrane dans la tradition africaine, dans les pages des récits de voyage ou dans les manuels d'histoire.
Il ne s'agit pas évidemment d'une étude exhaustive de la situation politique et sociale en Afrique Noire. L'Afrique révoltée se veut une brève introduction à la connaissance d'un continent où la misère physique et le déséquilibre moral risquent d'entraîner bientôt une gigantesque lutte révolutionnaire.
Une analyse du système colonial français montre que certains principes demeurent fondamentalement acquis: la suprematie d'un pouvoir central à Paris et les velleites d'assimilation des Africains aux formes politiques et culturelles françaises.
L'enseignement, les services de santé, l'exploitation économique des territoires, toutes ces activités demeurent placées encore aujourd'hui sous l'hypothèque du Pacte colonial (1 medecin pour 35 000 habitants, 90% d'analphabètes). Mais la génération nouvelle n'entend pas glisser sur le terrain de la xénophobie.
Dans un manifeste au Rassemblement démocratique africain, les étudiants noirs en France et à Dakar se sont prononcés…
(Réimpression de l'édition de 1958)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour améliorer votre expérience d'achat et pour réaliser des statistiques de visites.