
Éditions J'ai lu
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"Nous fûmes huit ans au pouvoir. Nous avons construit des écoles, créé des institutions de bienfaisance, édifié et entretenu le système pénitentiaire, financé l’instruction des sourds-muets, reconstruit les bacs. En résumé, nous avons reconstruit l’État et l’avons placé sur la voie de la prospérité." Ces paroles ont été prononcées en 1895 par Thomas Miller, un élu de Caroline du Sud, alors que l’expérience de démocratie multiraciale aux Etats-Unis s’y achevait par le retour au pouvoir de la suprématie blanche. Dans cette importante collection d’essais, précédés de notes éclairantes rédigées après coup, Ta-Nehisi Coates fait retentir les échos tragiques de ce passé, dans les événements actuels : l’élection sans précédent d’un président noir, Barack Obama, suivie d’un contrecoup haineux et de l’élection de l’homme qui selon Coates, est « le premier président blanc ». Mais le livre ne porte pas seulement sur la présidence des Etats-Unis, bien que celle-ci demeure en filigrane du début à la fin. Il examine aussi le temps présent à la lumière d’évènements historiques comme la guerre de Sécession, ou de programmes politiques comme l’incarcération de masse, qui ont profondément marqué la société américaine.
Ta-Nehisi Coates est un écrivain et journaliste américain né le 30 septembre 1975 à Baltimore. Il a reçu le prestigieux National Book Award en 2015 pour son livre Between The World and Me, traduit en français par Une colère noire (Autrement, 2016). Il vit à New York avec sa femme et son fils.
Éditions J'ai lu
Personnages légendaires, à l'origine d'un royaume ou d'un héros, reines, mères, prophétesses ou mêmes victimes, les femmes apparaissent en filigrane dans la tradition africaine, dans les pages des récits de voyage ou dans les manuels d'histoire.
Comme il l'annonçait lui-même lors d'un entretien en 2006 avec les journalistes du quotidien sénégalais Le Soleil, ces Mémoires de Luttes de Majhemout Diop sont « le journal officiel » de ses activités politiques au cours de ces cinquante dernières années. En effet, le Parti Africain de l'Indépendance (PAI), dont il était le leader, est né en 1957. S'inspirant du socialisme scientifique et du panafricanisme, avec comme fondations son triptyque bien connu : Mom sa reew (indépendance totale), Bok sa reew (solidarité et partage), Defar sa reew (construire l'Afrique), le PAI combattait la balkanisation de l'Afrique. Jusqu'à son dernier souffle (janvier 2007), Majhemout Diop restera fidèle à cet idéal qu'il voulait partager avec la jeunesse africaine : « Nous pensons, disait-il, que la jeunesse aurait intérêt à réinvestir le passé pour voir un peu ce qu'il y a à prendre. Les idées du PAI ne sont ni vieillottes ni caduques. »
Dans cet ouvrage, l'auteur raconte son histoire pour la première fois. L'histoire d'une ferme volonté d'en découdre avec l'apartheid.
Le Discours sur le colonialisme est suivi du Discours sur la Négritude, qu'Aimé Césaire a prononcé à l'Université Internationale de Floride (Miami), en 1987
Cet ouvrage est le résultat de quelques années de travaux rigoureux à partir d'enquêtes menées sur le terrain, dans un long périple qui a conduit l'auteur au Soudan, puis en Egypte, où il a pu avoir accès aux archives et aux documents officiels, ainsi que rencontrer en de nombreuses occasions les responsables soudanais, politiques et universitaires.
Responsable politique, économiste et chercheur universitaire, l'auteur de cet ouvrage était particulièrement qualifié pour mener à bien une telle entreprise. Gali Ngothé Gatta donne un éclairage historique visant à expliquer la décomposition de l'Etat et la guerre civile...
Prix Robert Delavignette de l'Académie d'Outre-Mer 2007
Sous ce titre, Roland Colin livre un récit très attendu par les historiens, relatant une aventure de forte intensité narrative : l histoire de l émancipation, « au soleil de la Liberté », au bout de quatre siècles de sujétion, de la plus ancienne des colonies de la France. C est là un apport de choix au grand débat sur le sens de la colonisation et de la décolonisation, dont les termes sont loin d être clos.
Au procès de Klaus Barbie, à Lyon, en 1987, l'espèce humaine tout entière était supposée partie civile.
[. ] Pour l'accusation, pour les parties civiles, pour les témoins à charge, pour tous ceux qui, dans la presse ou dans la grande salle du Palais de justice, attendaient, réclamaient et applaudirent la condamnation, l'ancien SS n'était rien de moins que la figure emblématique du Mal...
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