
Sous la direction de Mamadou Diawara, Mamadou Diouf et Jean-Bernard Ouédraogo
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Actes du colloque international
Ziguinchor, Sénégal
15, 16, 17 décembre 2011
réunis par Raphaël Lambal
Comme l’a noté, d’entrée de jeu, Henri Godard dans sa préface, le colloque de Ziguinchor vient combler un manque. Pour la première fois, en terre africaine, un ensemble de réflexions est consacré à celui qui avait la double qualité de créateur (écrivain et amateur d’art) et d’homme politique (militant de parti, ministre et conseiller du prince). Ce colloque a été aussi l’occasion de réunir, pour la première fois, des chercheurs africains et des chercheurs européens qui décident de renouer un dialogue autour de l’une des figures les plus importantes de l’histoire et de l’histoire littéraire de l’Afrique et de l’Europe, loin de toute arrière-pensée (ou récrimination) politique. Gageons que ces assises, il y a quelque temps encore, n’auraient pas pu se tenir tant étaient fortes encore les pesanteurs d’une certaine France-Afrique, ou bien ouvertes et encore béantes les cicatrices des relations francoafricaines agitées. La qualité de tous ces participants est d’avoir fait abstraction de ces considérations historiques et mémorielles qui, sans être inutiles en soi, pouvaient paraître préjudiciables à l’intérêt de ce colloque. Sans être donc aussi initiale que le fut l’Asie dans le parcours, l’oeuvre romanesque et la pensée sur l’art de Malraux, l’Afrique ne représente pas moins une dimension primordiale de son action et de son discours, en raison précisément du contexte de la décolonisation où ils prennent place et qui leur donne sens. À travers cette publication, la nouvelle université de Ziguinchor, en Casamance, renoue avec l’une des ambitions des fondateurs de la revue Présence Africaine qui était d’approcher l’Afrique, quelles que soient les circonstances et quel que soit le sujet, par une pensée rationnelle, loin de toute morgue et de toute revanche.
Ouvrages écrits collectivement.
Sous la direction de Mamadou Diawara, Mamadou Diouf et Jean-Bernard Ouédraogo
Actes du colloque organisé à l'occasion du 90e anniversaire d'Aimé Césaire, à Fort-de-FRANCE, du 24 au 26 juin 2003. Les Actes de ce colloque, organisé à l'initiative du Centre césairien d'études et de recherches (CCER), qui a réuni des écrivains et des chercheurs du monde entier, contiennent l'ensemble des discours et communications prononcés lors de cet événement, entre autres sur le thème de l'humanisme et de l'historicité de l'illustre poète, ainsi que sur l'évolution du concept de négritude.
Présence Africaine a fêté ses cinquante ans par l'organisation d'un premier colloque à Dakar, autour du thème général de Bilan critique et Perspectives.
La collection " Culture et Religion " veut être le carrefour où doit pouvoir s'instaurer de façon permanente le dialogue entre culture africaine et religions, entre l'Afrique et le génie spirituel des Eglises, entre les valeurs économiques, matérielles et les valeurs spirituelles. Elle voudrait permettre à l'Afrique d'affronter ce dialogue avec une profonde conscience de sa vision propre du monde dans sa globalité. Elle voudrait que le " dialogue " religieux imposé à l'Afrique par les Eglises, à la faveur de la colonisation, devienne effectif entre la conscience africaine (conscience politique, culturelle, économique, morale et spirituelle) et le génie spirituel des Eglises. C'est à cette tâche essentiellement que s'attellent les différentes publications de cette collection. Œuvre de ressourcement et de confrontation, mais aussi œuvre de construction ou de reconstruction, cette collection ne peut épargner aucun aspect susceptible d'influencer en bien ou en mal cette cohérence interne de l'Afrique de toujours.
Pensée à l'intention des étudiants, des maîtres et de tous les amateurs de la littérature négro-africaine, la collection Comprendre ouvre à la compréhension fructueuse soit d'un auteur, soit d'un genre, soit d'un courant littéraire.
(Réimpression de l'édition de 1993)
LES PÉPITES PRÉSENCE AFRICAINE
LES PÉPITES PRÉSENCE AFRICAINE
Cahiers Présence Africaine
Cahiers Présence Africaine
Cahiers Présence Africaine
Avec la misère qui s'accroît sur le continent africain, s'élargit le spectre des conflits et des maladies, mais on assiste aussi à une dangereuse détérioration du cadre de vie, fragilisant de plus en plus de monde.
A l'occasion de l'exposition Les statues meurent aussi – Ode au grand art africain, organisée du 9 septembre au 2 octobre 2010, à la Monnaie de Paris, par l'association Parcours des Mondes, Présence Africaine Éditions et la Communauté Africaine de Culture ont décidé de réimprimer l'ouvrage L'art nègre, qui avait été publié en 1951.
Gabriel Lisette, Administrateur de la France d'Outre-Mer, d'origine antillaise, est arrivé à Brazzaville en 1944, quelques mois après la Conférence de Brazzaville de janvier-février 1944 où le Général de Gaulle, René Pleven et le Gouverneur général Eboué avaient proclamé l'urgence de rapports nouveaux entre la France et ses colonies.
Un hommage au principal leader du combat pour l'indépendance de la Guinée-Bissau et des Île du Cap-Vert.
L'analyse de Benoît Ngom est avant tout constitutionnaliste. Elle l'est notamment quand elle porte sur la signification de l'interprétation que la Cour suprême donne à la Constitution. L'auteur ne laisse jamais le droit prendre complètement le dessus sur la vie et sur la politique...
Ce récit tente de ressusciter la péripétie de ce destin tragique et de contribuer à arracher de l'oubli un épisode méconnu, quasi mythique de l'histoire malgache du XIXe siècle.
De toutes les parties du monde, l'Afrique est le seul continent où États, peuples et communautés, cultures et civilisations, se sont laissé endormir dans la nuit des temps, alors qu'ailleurs, tout le monde est resté éveillé et actif. Résultat, l'Afrique s'est exclue des centres nerveux où se décident non seulement les affaires du monde, mais également son propre destin.
Dans Impérialisme et théories sociologiques du développement, Babacar Sine a tenté une critique des catégories idéologiques à travers lesquelles la sociologie dite " développementaliste " analysait les sociétés qualifiées, avec réalisme, de périphériques.
Avec : Le marxisme devant les sociétés africaines contemporaines, il poursuit son effort de clarification théorique des concepts marxistes.
Comme il l'annonçait lui-même lors d'un entretien en 2006 avec les journalistes du quotidien sénégalais Le Soleil, ces Mémoires de Luttes de Majhemout Diop sont « le journal officiel » de ses activités politiques au cours de ces cinquante dernières années. En effet, le Parti Africain de l'Indépendance (PAI), dont il était le leader, est né en 1957. S'inspirant du socialisme scientifique et du panafricanisme, avec comme fondations son triptyque bien connu : Mom sa reew (indépendance totale), Bok sa reew (solidarité et partage), Defar sa reew (construire l'Afrique), le PAI combattait la balkanisation de l'Afrique. Jusqu'à son dernier souffle (janvier 2007), Majhemout Diop restera fidèle à cet idéal qu'il voulait partager avec la jeunesse africaine : « Nous pensons, disait-il, que la jeunesse aurait intérêt à réinvestir le passé pour voir un peu ce qu'il y a à prendre. Les idées du PAI ne sont ni vieillottes ni caduques. »
La geste de Toussaint-Louverture que propose ici Aimé Césaire s'étend au-delà des limites de l'histoire d'Haïti et de son émancipation ; elle constitue un temps fort de l'histoire universelle.
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