Koïchiro Matsuura, (Japon) a été nommé le 12 novembre 1999 Directeur général de l'UNESCO par la Conférence générale de l'organisation pour un mandat de six ans. Ambassadeur du Japon en France depuis 1994, Koïchiro Matsuura est né en 1937 à Tokyo. Formé à la Faculté de droit de l'Université de Tokyo et à la faculté d'économie d'Haverford College (Pennsylvanie, Etats-Unis), il s'est lancé dès 1959 dans la carrière diplomatique. Koïchiro Matsuura a notamment assumé les postes de Directeur général de la coopération économique (1988), de Directeur général des affaires d'Amérique du Nord (1990) et de vice-ministre (1992-1994). Il a été pendant un an, jusqu'en novembre 1999, Président du Comité du patrimoine mondial de l'Unesco.
Responsable politique, économiste et chercheur universitaire, l'auteur de cet ouvrage était particulièrement qualifié pour mener à bien une telle entreprise. Gali Ngothé Gatta donne un éclairage historique visant à expliquer la décomposition de l'Etat et la guerre civile...
Où va l'Algérie ? La question posée il y a plus de trente ans par Mohamed Boudiaf a survécu à son auteur et concentre à elle seule toutes les interrogations suscitées par la situation dramatique que connaît le pays...
Au procès de Klaus Barbie, à Lyon, en 1987, l'espèce humaine tout entière était supposée partie civile. [. ] Pour l'accusation, pour les parties civiles, pour les témoins à charge, pour tous ceux qui, dans la presse ou dans la grande salle du Palais de justice, attendaient, réclamaient et applaudirent la condamnation, l'ancien SS n'était rien de moins que la figure emblématique du Mal...
Qu'est-ce que la démocratie ? Qu'est-ce qu'un parti politique ? Comment se répartissent les pouvoirs ? Comment s'organisent des élections ? Quels sont les modes de scrutin ? Qu'est-ce qu'une liste électorale ? Qu'est-ce qu'une Constitution ? Qu'est-ce qu'un État ? Comment sont apparus les Droits de l'homme ? C'est à toutes ces questions que tente de répondre le professeur André Salifou.
Avec quarante ans de recul on s'aperçoit que les grands thèmes développés dans NATIONS NÈGRES ET CULTURE, non seulement n'ont pas vieilli, mais sont maintenant accueillis et discutés comme des vérités scientifiques, alors qu'à l'époque ces idées paraissaient si révolutionnaires que très peu d'intellectuels africains osaient y adhérer.
Ce récit tente de ressusciter la péripétie de ce destin tragique et de contribuer à arracher de l'oubli un épisode méconnu, quasi mythique de l'histoire malgache du XIXe siècle.
L'analyse de Benoît Ngom est avant tout constitutionnaliste. Elle l'est notamment quand elle porte sur la signification de l'interprétation que la Cour suprême donne à la Constitution. L'auteur ne laisse jamais le droit prendre complètement le dessus sur la vie et sur la politique...
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour améliorer votre expérience d'achat et pour réaliser des statistiques de visites.