Éditions Albin Michel
HISTORIQUE
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De son Île natale au sol français, de ses premiers émois à ses récentes déceptions, c'est à un voyage géographique social et mental, que nous convie la narratrice de ce recueil. Usant d'une langue incisive et colorée, la jeune romancière et poétesse sénégalaise y dépéint tant la brutalité des sociétés traditionnelles que la calme violence de nos sociétés d'exclusion.
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De son Île natale au sol français, de ses premiers émois à ses récentes déceptions, c'est à un voyage géographique social et mental, que nous convie la narratrice de ce recueil. Usant d'une langue incisive et colorée, la jeune romancière et poétesse sénégalaise y dépéint tant la brutalité des sociétés traditionnelles que la calme violence de nos sociétés d'exclusion. Sombre tableau que vient animer l'allégresse féroce du style, et tempérer la douce nostalgie des premières années villageoises.
Fatou DIOME est née en 1968 à Niodior, une île du Sénégal. Elle vit actuellement à Strasbourg.
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Éditions J'ai Lu
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Éditions Le Livre de Poche
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Le Masque de chacal est un ouvrage dans lequel le lecteur serait tenté de voir un tableau fidèle de la vie quotidienne des quinze dernières années au Congo. Tout dans le récit semble inviter à une telle lecture ...
FORMAT POCHE
Chef de famille, chômeur, pauvre et considéré, Ibrahima Dieng reçoit un providentiel mandat de Paris ; il essaie d'en toucher le montant. D'espoir fou en amères désillusions commencent alors ses tribulations. La grande habileté de Sembène Ousmane a consisté, dans ce récit, à reconstituer un monde à partir du plus modeste des événements.
FORMAT POCHE
Une réédition qui permet aussi de redécouvrir la beauté d'une écriture réussissant 1'équilibre précaire entre témoignage « choc » et transparence lumineuse des paysages d'enfance.
À la poursuite de l'homme de pierre est un conte fantastique où le suspense se marie à un imaginaire fertile. Le narrateur reçoit un courrier d'un village de Côte d'Ivoire contenant l'énigmatique journal de son père, disparu dix ans plus tôt. Il part alors sur ses traces en pays bété. L aventure semble liée à un mystérieux pendentif que son père portait depuis sa naissance. Fil conducteur d'une longue quête initiatique, ce talisman représente un homme de pierre – le redoutable Kpihi – un ancêtre victime d'une malédiction. Au bout de son chemin qui le conduit parmi les dignitaires d'une confrérie de chasseurs, le narrateur retrouvera-t-il son père et le secret de la naissance de celui-ci sera-t-il élucidé ?
Elle a vingt-trois ans et quitte sa Bourgogne natale. Elle rejoint un ami comédien dans une capitale d'Afrique centrale pour un emploi de chanteuse de cabaret. Elle aime passionnément un médecin citoyen de ce pays, qui sera assassiné par la dictature au pouvoir. Elle rentre en France puis irrésistiblement s'en retourne vers la ville de ses amours. Elle y vit immergée et pauvre au sein du peuple qui souffre aux prises avec l'iniquité, la corruption, la violence meurtrière, dans la fraternité des combattants de la liberté. Un roman dont le langage exprime une extrême sensibilité poétique aux lieux, aux choses, aux êtres. Elle restitue ainsi une image étonnamment vraie et profonde de l'Afrique présente, vécue à travers une flamboyante et tragique aventure.
Son magnifique ouvrage, Crépuscule des temps anciens, davantage chronique que roman, retrace trois siècles d’histoire du Bwamu, jusqu’aux débuts de la colonisation. L’auteur y déploie toute sa conscience et son cœur, faisant preuve d’une objectivité rare : celle de se mettre sincèrement à l’écoute des hommes qu’il décrit.
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
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