
Adame Ba Konaré nous propose dans ce magistral essai une théorie du pouvoir qui, selon elle, est la réplique de l'ordonnancement cosmique.
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Djeli Madi Kouyaté, facétieux griot du Mali, conte l’épopée de Ferdinand Duranton (1797-1838), explorateur, diplomate, agent commercial et beau-fils de Hawa Demba Diallo, roi du Khasso, au temps de la pénétration française en Afrique, à Nicolas, son descendant. Un rare plongeon au cœur d’une tradition orale riche et foisonnante par la voix d’un maître des mots, du temps et de la mémoire. Avec un détour par Saint-Domingue, l’auteure tisse une quête d’identité croisée… qui la touche de près.
Née à Ségou au Mali, Adame Ba Konaré est historienne de formation. Elle est l’auteure de nombreux articles et d’une dizaine d’ouvrages sur son pays et l’Afrique, dans plusieurs domaines : histoire, femmes, parfums. Elle a également produit un roman et divers essais. Première Dame du Mali de 1992 à 2002, elle est également militante des Droits de l’Homme et du Mouvement démocratique malien, membre fondatrice de plusieurs associations, Présidente-fondatrice du Musée de la Femme de Bamako (Muso Kunda) et du Centre Kadiatou Thiam, Centre de Formation et de Production pour les Femmes.
Partant de ses recherches et surtout de sa propre expérience, en tant qu’ancienne première Dame du Mali, et grande militante du Mouvement démocratique malien et des Droits de l’homme, Adame Ba Konaré est l’auteur de plusieurs articles, préfaces et ouvrages portant sur les thèmes aussi variés que l’histoire, le pouvoir, la culture, les femmes ou encore les parfums.
Adame Ba Konaré nous propose dans ce magistral essai une théorie du pouvoir qui, selon elle, est la réplique de l'ordonnancement cosmique.
Éditions La Découverte
Nombreux sont les spécialistes de l'islam en Afrique occidentale qui ont entendu le nom de Cheikh Mouhammad Chérif de Kankan, mais rares sont ceux qui connaissent sa trajectoire et sa pensée.
De toutes les parties du monde, l'Afrique est le seul continent où États, peuples et communautés, cultures et civilisations, se sont laissé endormir dans la nuit des temps, alors qu'ailleurs, tout le monde est resté éveillé et actif. Résultat, l'Afrique s'est exclue des centres nerveux où se décident non seulement les affaires du monde, mais également son propre destin.
Depuis que Daniel Guérin a écrit, en 1955, Les Antilles décolonisées, le mouvement de libération des Antilles s'est accentué, tant par la marche en avant de la revendication autonomiste dans les Antilles françaises que par l'accession des Antilles britanniques à l'indépendance.
Avec quarante ans de recul on s'aperçoit que les grands thèmes développés dans NATIONS NÈGRES ET CULTURE, non seulement n'ont pas vieilli, mais sont maintenant accueillis et discutés comme des vérités scientifiques, alors qu'à l'époque ces idées paraissaient si révolutionnaires que très peu d'intellectuels africains osaient y adhérer.
Plus de 30 ans après son indépendance, la paix, condition indispensable au développement, est toujours introuvable au Tchad. Malgré tout, l'unité nationale n'est pas remise en cause. Pour restaurer cette paix, l'auteur préconise pour le Tchad une fédération de sept Etats, sur des critères historiques, économiques, sociaux et culturels
Né à Moscou en 1799 dans une famille de la noblesse russe, Alexandre Pouchkine était aussi l'arrière petit-fils d'un africain célèbre dans l'histoire militaire et technique russe, Abraham Petrovitch Hanibal (1696-1781). La revue Présence Africaine ne pouvait rester indifférente au Bicentenaire de la naissance du fondateur de la littérature russe moderne, qui aimait l'Afrique ...
Comme il l'annonçait lui-même lors d'un entretien en 2006 avec les journalistes du quotidien sénégalais Le Soleil, ces Mémoires de Luttes de Majhemout Diop sont « le journal officiel » de ses activités politiques au cours de ces cinquante dernières années. En effet, le Parti Africain de l'Indépendance (PAI), dont il était le leader, est né en 1957. S'inspirant du socialisme scientifique et du panafricanisme, avec comme fondations son triptyque bien connu : Mom sa reew (indépendance totale), Bok sa reew (solidarité et partage), Defar sa reew (construire l'Afrique), le PAI combattait la balkanisation de l'Afrique. Jusqu'à son dernier souffle (janvier 2007), Majhemout Diop restera fidèle à cet idéal qu'il voulait partager avec la jeunesse africaine : « Nous pensons, disait-il, que la jeunesse aurait intérêt à réinvestir le passé pour voir un peu ce qu'il y a à prendre. Les idées du PAI ne sont ni vieillottes ni caduques. »
Après plus de cent ans de colonialisme, c'est maintenant que le plus dur commence pour cet immense pays, disposant de nombreux atouts à faire valoir et de nombreux défis à relever.
Ce récit tente de ressusciter la péripétie de ce destin tragique et de contribuer à arracher de l'oubli un épisode méconnu, quasi mythique de l'histoire malgache du XIXe siècle.
Au procès de Klaus Barbie, à Lyon, en 1987, l'espèce humaine tout entière était supposée partie civile.
[. ] Pour l'accusation, pour les parties civiles, pour les témoins à charge, pour tous ceux qui, dans la presse ou dans la grande salle du Palais de justice, attendaient, réclamaient et applaudirent la condamnation, l'ancien SS n'était rien de moins que la figure emblématique du Mal...
Cet ouvrage est le résultat de quelques années de travaux rigoureux à partir d'enquêtes menées sur le terrain, dans un long périple qui a conduit l'auteur au Soudan, puis en Egypte, où il a pu avoir accès aux archives et aux documents officiels, ainsi que rencontrer en de nombreuses occasions les responsables soudanais, politiques et universitaires.
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