A l'heure où Boudiaf répondait oui à l'Algérie, deux soeurs, deux Algériennes, s'affrontent avec Paris pour témoin. Un face-à-face émouvant. Deux femmes plus que jamais unies par les liens du sang
HISTORIQUE
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Lamine KAMARA, enfant de la savane, du clair-pays, évoque dans Safrin, les beautés et la vitalité du pays Manding à travers le récit clair d'un duel. Un duel au fouet auquel se livrent les jeunes gens à la belle saison, quand le riz est rentré et que les jeunes filles chantent la joie de vivre.
Lamine Capi Kamara, né en 1940, est un écrivain, romancier et essayiste guinéen, dont l’engagement littéraire s’ancre dans une expérience personnelle et politique profonde. Ancien enseignant, il accède en 1987 au poste de Secrétaire général de la Commission nationale guinéenne pour l’UNESCO. Son œuvre, marquée par une écriture à la fois sobre et poignante, évoque notamment les détentions politiques sous le régime de Sékou Touré. Il y mêle douleur et dérision, construisant des récits fidèles aux réalités vécues tout en leur conférant une véritable force narrative. À travers des scènes mêlant rire et souffrance, il parvient à restituer l’horreur de l’univers carcéral sans jamais renoncer à l’humanité de ses personnages. Son engagement pour les idéaux de socialisme, de démocratie et d’unité africaine transparaît également dans ses réflexions. Son apport à la littérature guinéenne a été salué par le 3ᵉ Prix du Livre Guinéen, avec une mention spéciale du jury, décerné par la Fondation Orange.
A l'heure où Boudiaf répondait oui à l'Algérie, deux soeurs, deux Algériennes, s'affrontent avec Paris pour témoin. Un face-à-face émouvant. Deux femmes plus que jamais unies par les liens du sang
A notre époque où de nombreuses populations connaissent l'exil, Anne Tiddis décline en six contes la force onirique du déchirement. Six versions de l'exil au temps. Après "Terre plurielle", l'auteur continue sa recherche sur l'émotion d'une mémoire algérienne.
FORMAT POCHE
Élevée dans un milieu protestant par sa grand-mère maternelle, nourrie de références catholiques par sa mère, côtoyant la culture musulmane par son père, Anne-Leîla va découvrir dans le passage de l'enfance à l'adolescence, les richesses de ces cultures mais aussi de 1954 à 1964 leur confrontation brutale et sanguinaire dans la guerre d'Algérie.
Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
Une nuit, sur le lac, une femme, ses enfants et son fidèle piroguier sont entraînés par les éléments déchaînés dans les eaux où séjournent les dieux : deux monstres marins qu'ils parviennent à vaincre. Les dieux sont morts, les puissances obscures démythifiées. Le jour se lève, splendide, sur un monde qui pleure ses dieux anciens.
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
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