HISTORIQUE
HISTORIQUE
Livraison partout dans le monde
Port offert en Europe à partir de 30€
Retrait gratuit à Paris
Paiement sécurisé
L’auteur incarne sans doute la première figure d’une nouvelle génération d’écrivains zaïrois, qui succède à la fois aux pionniers comme Lomami Tchibamba et Bolamba, et à la première vague post-indépendance représentée par Mukala Kadima Nzuii, Mudimbe, Ngal, Ngandu Kashama ou Matala Mukadi. Moins imprégné du souffle profond des traditions ancestrales que ses prédécesseurs, il ne porte pas non plus les exigences rigides de ses aînés. Il est plutôt le fruit d’une synthèse entre ces deux époques, incarnant un présent complexe à l’image de la ville qu’il dépeint : une capitale foisonnante, tumultueuse, fascinante et dévorante, où le comique côtoie le tragique selon des dynamiques et des règles mystérieuses. L’instant d’un soupir retrace le parcours fragile d’un espoir au cœur d’une métropole qui s’est développée trop rapidement, où la mémoire de l’Afrique semble s’effacer sans que de nouvelles règles modernes ne s’imposent encore avec clarté. De ce décor naît un roman populaire et sentimental, porté par une émotion palpable et une énergie narrative qui font rapidement oublier certaines imperfections propres à une première œuvre. L’instant d’un soupir a reçu en 1984 le prix Inter-Alliance Franco-Zaïroise.
EMONGO Lomomba est né le 13 mars 1960 à Katako-Kombe, au Zaïre.
Il est titulaire de plusieurs prix littéraires : pour L'Instant d'un soupir, roman, en 1984 ; Sans adieu, nouvelle, et Kin Kiese, nouvelle, en 1986, Muana-Mayi, roman, en 1988. Actuellement, il prépare un doctorat en philosophie (Faculté catholique de Kinshasa).
A l'heure où Boudiaf répondait oui à l'Algérie, deux soeurs, deux Algériennes, s'affrontent avec Paris pour témoin. Un face-à-face émouvant. Deux femmes plus que jamais unies par les liens du sang
Avec ce premier roman, Alain Rapon rend manifeste sa passion du récit, son désir d'échapper au tragique comme à la carte postale, et de briser la distance entre le vécu et l'écriture, en tentant de nous restituer le langage et le décor d'aujourd'hui.
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
A la fin du XIXe siècle, quelques familles du canton de Vaud partent s'exiler à Constantine. L'auteur nous entraîne ici dans un suspense psychologique à travers une chronique familiale, franco-helvéto-algérienne....
Ce roman est à la fois un cri de révolte, un chant tendre et une parole d'espoir.
De Siga qui puise dans ses souvenirs d’enfance pour donner le meilleur de son art à Sakura qui, rongé par le feu de l’ambition, mûrira longtemps sa vengeance sur la vie, toute une galerie de personnages, de scènes, de lieux vous transportent dans un univers kaléidoscopique, tout un pan de nos vies…
Ce roman se situe dans la veine actuelle du roman policier africain contemporain.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour améliorer votre expérience d'achat et pour réaliser des statistiques de visites.