HISTORIQUE
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L'Angola a accédé à l'indépendance en 1975.
Mais, avant même que celle-ci ne soit proclamée, la guerre avait déjà hypothéqué son avenir. Comment cette ancienne colonie portugaise, jadis vitrine de l'intégration socio-économique des populations, de toutes les races, a-t-elle pu à ce point sombrer dans la régression économique ? Pourquoi, malgré la grande richesse de ses sols et sous-sols, l'Angola ne peut-il pas garantir à ses populations le bien-être auquel elles aspirent ? Les questions ainsi posées justifient le titre de cet ouvrage : Pour comprendre l'Angola.
II s'agit en effet d'une œuvre de réflexion sur les données historiques, économiques, sociales et politiques de l'Angola, pour permettre la synthèse du présent et du passé, en retraçant les péripéties de ce pays et de son peuple. Les deux parties de cet ouvrage permettent une analyse globale de la problématique du développement en Angola : Dans quel contexte ce pays a-t-il accédé à l'indépendance ? Pourquoi les dirigeants ont-ils choisi telle voie politique ou telle option économique ? Quels sont les facteurs extérieurs qui conditionnent le développement de ce pays ?
Après avoir été conseiller d'Agostinho Neto pendant la lutte pour l'indépendance de l'Angola, Manuel Jorge vit en France depuis 1974.
II est professeur de droit à l'Université Paris V-René Descartes et avocat au barreau de Paris.
Avec quarante ans de recul on s'aperçoit que les grands thèmes développés dans NATIONS NÈGRES ET CULTURE, non seulement n'ont pas vieilli, mais sont maintenant accueillis et discutés comme des vérités scientifiques, alors qu'à l'époque ces idées paraissaient si révolutionnaires que très peu d'intellectuels africains osaient y adhérer.
Dans l'espace des traditions peule et bambara qu'il connaît de l'intérieur même, Amadou Hampaté Bâ se met à l'écoute de la personne, de la parole et de Dieu. Grâce à la sûreté de son savoir et à la simplicité sage de son approche, la lumière apportée sur ces notions essentielles ouvre l'accès aux fondements et au sens d'une civilisation.
Comme il l'annonçait lui-même lors d'un entretien en 2006 avec les journalistes du quotidien sénégalais Le Soleil, ces Mémoires de Luttes de Majhemout Diop sont « le journal officiel » de ses activités politiques au cours de ces cinquante dernières années. En effet, le Parti Africain de l'Indépendance (PAI), dont il était le leader, est né en 1957. S'inspirant du socialisme scientifique et du panafricanisme, avec comme fondations son triptyque bien connu : Mom sa reew (indépendance totale), Bok sa reew (solidarité et partage), Defar sa reew (construire l'Afrique), le PAI combattait la balkanisation de l'Afrique. Jusqu'à son dernier souffle (janvier 2007), Majhemout Diop restera fidèle à cet idéal qu'il voulait partager avec la jeunesse africaine : « Nous pensons, disait-il, que la jeunesse aurait intérêt à réinvestir le passé pour voir un peu ce qu'il y a à prendre. Les idées du PAI ne sont ni vieillottes ni caduques. »
L'analyse de Benoît Ngom est avant tout constitutionnaliste. Elle l'est notamment quand elle porte sur la signification de l'interprétation que la Cour suprême donne à la Constitution. L'auteur ne laisse jamais le droit prendre complètement le dessus sur la vie et sur la politique...
Toutes les recherches scientifiques que Cheikh Anta Diop a menées depuis quelques décennies sur les fondements historiques de la civilisation africaine culminent en cet ouvrage capital, affirmation de l'identité nègre, dont le titre marque avec force l'enjeu : CIVILISATION OU BARBARIE.
Le Discours sur le colonialisme est suivi du Discours sur la Négritude, qu'Aimé Césaire a prononcé à l'Université Internationale de Floride (Miami), en 1987
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