HISTORIQUE
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Avec une préface de Henri DJOMBO
Cœur d’Aryenne raconte les amours du jeune Mambéké, fils de Yoka et de Dongo, avec la jeune Solange dont le père, Roch Morax, un négrophobe odieux, règne en maître absolu sur Mossaka. Lorsque, bien plus tard, il découvre que sa fille a un enfant de Mambéké, un Noir, il libère toute son agressivité. Solange n’échappera à sa furie et ne pourra sauver son enfant qu’en tuant son père.
Publié en 1953 dans un numéro spécial de la revue Présence Africaine, Cœur d’Aryenne est le premier texte littéraire de langue française en République du Congo. Il annonce les principaux thèmes développés aujourd’hui dans bien des œuvres d’auteurs congolais : l’identité culturelle, le métissage racial, l’unité nationale, la réhabilitation de l’opprimé, la coexistence pacifique des communautés…, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles esthétiques romanesques.
Sa réédition soixante ans après, témoigne de son intérêt et de l’actualité de son auteur.
Né à Brazzaville en 1907, Jean Malonga devint parlementaire et siégea à l'Assemblée Nationale de 1946 à 1951.
Romancier et conteur, il étudie les mœurs et coutumes du Congo et se penche sur le problème des relations entre Blancs et Noirs. En dehors de trois ouvrages de légendes publiés au Congo, ses deux romans sont " Cœur d'Aryenne " et " La Légende de M'Pfoumou Ma Mazono " tous deux publiés par Présence Africaine.
Il décède en 1985.
TRADUCTION DE L'ANGLAIS PAR LAURENT VANINI
PREFACE DE SOULEYMANE BACHIR DIAGNE
Massala-Massala a abandonné ses études depuis des années. Il rêve de venir un jour en FRANCE, à Paris, capitale de la consécration, afin de réussir comme Charles Moki, un des "grands" du quartier dont les retours au pays natal pendant les vacances de la saison sèche, ne ...
Cet ouvrage décrit la vie quotidienne au Soudan français, sous le régime colonial, ainsi que l'influence plus ou moins néfaste qu'exerçaient et que continuent d'exercer les sorciers, féticheurs et autres "connaisseurs des choses cachées", sur la mentalité des populations du Mali profond.
Sabine Denoblecourt était une jeune femme blanche qu'un secret de famille avait condamnée à une haine implacable de l'homme noir. Mais un jour elle tomba éperdument amoureuse d'un jeune africain.
De son Île natale au sol français, de ses premiers émois à ses récentes déceptions, c'est à un voyage géographique social et mental, que nous convie la narratrice de ce recueil. Usant d'une langue incisive et colorée, la jeune romancière et poétesse sénégalaise y dépéint tant la brutalité des sociétés traditionnelles que la calme violence de nos sociétés d'exclusion.
Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
Ce roman se situe dans la veine actuelle du roman policier africain contemporain.
Un couple – il est noir, elle est blanche – vivant en Afrique, est à la recherche de lui-même autant que du pourquoi de son existence. A travers une succession de tableaux du quotidien, parfois sublimes, souvent bouleversants, mais jamais innocents, c'est la solitude à deux, les difficultés de l'amour et son érosion par le temps, les voyages intérieurs, leur impuissance face aux maux de l'Afrique, qu'expriment Eloka et Aimée.
Il était une fois - à Médina, dans un quartier moyennement bourgeois de la capitale - un homme qui avait su cristalliser sur lui tous les regards, toutes les amitiés, toutes les envies et toute la considération que confère la possession d'un château, de grandes terres, d'une femme ou d'une voiture de luxe, et cela grâce seulement à sa poubelle.
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