Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
HISTORIQUE
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Jeunes et dynamiques, Zahara, Karimène, Mélissa, et les autres appartiennent à différentes communautés du melting pot marseillais.
Cadre supérieure ou caissière de supermarché, elles éprouvent toutes une sorte de mal-être. Elles sont décrites dans une tranche de vie : celle-ci, le matin, alors qu’elle reçoit un appel téléphonique de sa mère repartie aux Comores, celle-là, le soir de ses trente ans, ou encore cette autre prise du désir de rompre la routine et de faire un voyage…
Toutes se cherchent et essaient d’échapper aux problèmes liés à la maternité, au couple, à la tradition. Elles tentent ainsi de satisfaire leurs besoins d’évasion, de liberté, de création… Le texte évoque, pour chacune d’elles, un moment particulier. Il se termine par une réunion de « copines » ayant atteint la quarantaine et qui, le temps d’une rencontre, vont partager leurs souvenirs, leurs joies et leurs peines.
Fathia Radjabou est née à Moroni (Comores). Agrégée d’économie, elle enseigne dans un lycée de la région parisienne. Je ne sais pas quoi faire de ma vie est sa première oeuvre publiée
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
De son Île natale au sol français, de ses premiers émois à ses récentes déceptions, c'est à un voyage géographique social et mental, que nous convie la narratrice de ce recueil. Usant d'une langue incisive et colorée, la jeune romancière et poétesse sénégalaise y dépéint tant la brutalité des sociétés traditionnelles que la calme violence de nos sociétés d'exclusion.
A la fin du XIXe siècle, quelques familles du canton de Vaud partent s'exiler à Constantine. L'auteur nous entraîne ici dans un suspense psychologique à travers une chronique familiale, franco-helvéto-algérienne....
Chef de famille, chômeur, pauvre et considéré, Ibrahima Dieng reçoit un providentiel mandat de Paris ; il essaie d'en toucher le montant. D'espoir fou en amères désillusions commencent alors ses tribulations. La grande habileté de Sembène Ousmane a consisté, dans ce récit, à reconstituer un monde à partir du plus modeste des événements.
Il était une fois - à Médina, dans un quartier moyennement bourgeois de la capitale - un homme qui avait su cristalliser sur lui tous les regards, toutes les amitiés, toutes les envies et toute la considération que confère la possession d'un château, de grandes terres, d'une femme ou d'une voiture de luxe, et cela grâce seulement à sa poubelle.
Ce livre est dominé par Tonton Hannibal-Ideloy Bwakamé Na Sakkadé. Ancien baroudeur devenu Président de la République à la faveur d'un coup d'état, il exerce un pouvoir illimité. A travers ce roman, c'est le problème du pouvoir et du contre-pouvoir qui est posé dans toute son ampleur.
Le protagoniste essentiel de ce récit est un masque, le grand N'TOMO ; de son absence, de son rapt naît le drame. Ainsi sommes-nous invités, peut-être, à méditer les dimensions d'un autre drame où se jouerait la destinée, c'est-à-dire l'identité négro-africaine.
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