HISTORIQUE
HISTORIQUE
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
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Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ». La Raparille est un roman historique habilement mis en scène à travers des conversations qui se déroulent entre Toinette, une vieille signare, et Alphée, son notaire. La ville de Saint-Louis est alors au zénith de l'histoire coloniale. Les colons se sont appariés avec des femmes indigènes – noires puis métisses.
Le notaire débat avec Toinette, veuve de maris successifs et en possession d'un confortable héritage, de sa volonté de léguer ses biens à Cathy, une « raparille » ramenées des zones de combat du Haut-Fleuve par les militaires qui l'ont remise à la vieille signare. Le récit de Toinette fait revivre, à travers sa propre histoire, la société saint-louisienne de l'époque, monde que l'auteur nous restitue avec justesse.
Fadel DIA né au Sénégal, est géographe et historien de formation. Il a été secrétaire général de la Conférence des ministres de l’Education ayant le français en partage.
Le Masque de chacal est un ouvrage dans lequel le lecteur serait tenté de voir un tableau fidèle de la vie quotidienne des quinze dernières années au Congo. Tout dans le récit semble inviter à une telle lecture ...
Jagua Nana, une Ibo de la région d'Onitsha, est maintenant établie à Lagos, ville bouillonnante de vie et d'intrigues. Prostituée voluptueuse, Jagua recherche la sécurité dans la fréquentation de l'élite et le plaisir dans celle des boîtes de nuit. Elle est amoureuse de Freddie, un jeune instituteur qu'elle aide à payer des études de droit à Londres. ...
Avec ce premier roman, Alain Rapon rend manifeste sa passion du récit, son désir d'échapper au tragique comme à la carte postale, et de briser la distance entre le vécu et l'écriture, en tentant de nous restituer le langage et le décor d'aujourd'hui.
Élevée dans un milieu protestant par sa grand-mère maternelle, nourrie de références catholiques par sa mère, côtoyant la culture musulmane par son père, Anne-Leîla va découvrir dans le passage de l'enfance à l'adolescence, les richesses de ces cultures mais aussi de 1954 à 1964 leur confrontation brutale et sanguinaire dans la guerre d'Algérie.
Elle a vingt-trois ans et quitte sa Bourgogne natale. Elle rejoint un ami comédien dans une capitale d'Afrique centrale pour un emploi de chanteuse de cabaret. Elle aime passionnément un médecin citoyen de ce pays, qui sera assassiné par la dictature au pouvoir. Elle rentre en France puis irrésistiblement s'en retourne vers la ville de ses amours. Elle y vit immergée et pauvre au sein du peuple qui souffre aux prises avec l'iniquité, la corruption, la violence meurtrière, dans la fraternité des combattants de la liberté. Un roman dont le langage exprime une extrême sensibilité poétique aux lieux, aux choses, aux êtres. Elle restitue ainsi une image étonnamment vraie et profonde de l'Afrique présente, vécue à travers une flamboyante et tragique aventure.
FORMAT POCHE
Ce roman est à la fois un cri de révolte, un chant tendre et une parole d'espoir.
A l'heure où Boudiaf répondait oui à l'Algérie, deux soeurs, deux Algériennes, s'affrontent avec Paris pour témoin. Un face-à-face émouvant. Deux femmes plus que jamais unies par les liens du sang
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