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HISTORIQUE
HISTORIQUE
Le protagoniste essentiel de ce récit est un masque, le grand N'TOMO ; de son absence, de son rapt naît le drame. Ainsi sommes-nous invités, peut-être, à méditer les dimensions d'un autre drame où se jouerait la destinée, c'est-à-dire l'identité négro-africaine.
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Le protagoniste essentiel de ce récit est un masque, le grand N'TOMO ; de son absence, de son rapt naît le drame. Ainsi sommes-nous invités, peut-être, à méditer les dimensions d'un autre drame où se jouerait la destinée, c'est-à-dire l'identité négro-africaine.
Seyou Badian est né à Bamako (alors capitale de la colonie du Soudan français) le 10 avril 1928. Il fait des études de médecine à l’université de Montpellier en France, et il est l’auteur d’une thèse sur les traitements africains de la fièvre jaune. En 1956, il rentre au Mali et il est nommé médecin de circonscription. Proche du premier président malien Modibo Keïta, il écrit les paroles de l’hymne national du Mali, intitulé « Pour l’Afrique et pour toi, Mali ». Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière en 1962 puis ministre du Développement. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal.
Il est l’auteur d’une oeuvre romanesque riche, qui questionne entre autres thèmes le choc de la tradition et de la modernité. En 1957, il publie son premier roman, intitulé Sous l’orage, chez Présence Africaine. En 1977, c’est la publication de Noces sacrées, puis en 2007, La Saison des pièges, deux ouvrages également édités chez Présence Africaine. Il meurt à Bamako le 28 décembre 2018.
Dans ce premier roman publié sous le pseudonyme d'Eza Boto, le lecteur découvrira, tracés avec une force qui s'accomplira exemplairement dans les œuvres postérieures, fort célèbres, de Mongo Béti, les drames d'une Afrique dominée, ceux qui opposent les humbles, les simples, les paysans, aux différents types d'exploiteurs du monde politique, économique et religieux.
À travers l'émouvante histoire de Maïmouna, ce sont deux mondes, deux façons de vivre, deux morales, deux visages de l'Afrique qu'Abdoulaye Sadji, romancier sensible et lucide, dévoile.
De son Île natale au sol français, de ses premiers émois à ses récentes déceptions, c'est à un voyage géographique social et mental, que nous convie la narratrice de ce recueil. Usant d'une langue incisive et colorée, la jeune romancière et poétesse sénégalaise y dépéint tant la brutalité des sociétés traditionnelles que la calme violence de nos sociétés d'exclusion.
Quelque part en Afrique…
Une manifestation populaire, hostile au pouvoir en place. Une balle meurtrière qui va infléchir le destin d’un jeune homme. C’est à une formidable odyssée vengeresse, riche en rebondissements que nous convie l’auteur de ce surprenant récit. C’est aussi, sur fond de guerre civile, le tableau d’une société rongée par la misère et ses conséquences : exploitation, répression, corruption …
Un vieux paysan qui n'a jamais quitté son village natal, n'a plus aucun autre souhait que celui de voir la ville et mourir. Au terme de son séjour, il confie à ses hôtes citadins ce qui l'aura le plus frappé dans les centres urbains.
Sabine Denoblecourt était une jeune femme blanche qu'un secret de famille avait condamnée à une haine implacable de l'homme noir. Mais un jour elle tomba éperdument amoureuse d'un jeune africain.
Djibril Tamsir Niane s'est mis ici à l'écoute de l'Afrique traditionnelle. Les paroles qu'il nous propose sont paroles de griots.
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
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