

L'étrange univers dans lequel vivent les personnages du récit de A.DJERROUMI est bordé par la mer. On devine, au fil de la lecture, que la cité au sein de laquelle ces personnages cohabitent et s'entredéchirent est située dans un pays arabe, en plein Maghreb...
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L'étrange univers dans lequel vivent les personnages du récit de A.DJERROUMI est bordé par la mer. On devine, au fil de la lecture, que la cité au sein de laquelle ces personnages cohabitent et s'entredéchirent est située dans un pays arabe, en plein Maghreb. C'est là que, mus par des passions inassouvies, les personnages fixent intensément de leurs yeux vides " un gouffre sans fin ", alors que les heures et les minutes se succèdent et s'effritent à un rythme accéléré.
La mort rôde: partout, " une odeur de chute, une odeur de perdition " trouble les pensées et les sentiments. Comme hallucinée, une jeune fille, Karima, chemine au milieu de ce monde. L'air grave et tourmenté, Rachid va à sa rencontre. Attrayant et aveuglant, l'espoir se transformera en un rêve inapprochable. Finalement, les choses s'éclaireront. Karima se réveillera. L'essentiel de ce qui- est consigné dans le récit n'aura-t-il été qu'un cauchemar ? Usant d'une écriture lancinante, A. DIERROUMI défriche et déchiffre, à travers la fiction que voici, des passions et des préoccupations obscures et surprenantes.
Ahmed DERROUMI est né en 1954 en Algérie. Il a fait ses études en France, puis en Algérie. Il est professeur dans sa ville natale, Lakhdaria
Sabine Denoblecourt était une jeune femme blanche qu'un secret de famille avait condamnée à une haine implacable de l'homme noir. Mais un jour elle tomba éperdument amoureuse d'un jeune africain.
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
Nous vivons les derniers mois de l'ère coloniale au Sahel Maritime et dans sa province des Îles des Trois-Sœurs. Les événements se succèdent à un rythme rapide où trois destins de leaders nationaux s'affrontent dans une lutte fratricide pour le pouvoir.
Massala-Massala a abandonné ses études depuis des années. Il rêve de venir un jour en FRANCE, à Paris, capitale de la consécration, afin de réussir comme Charles Moki, un des "grands" du quartier dont les retours au pays natal pendant les vacances de la saison sèche, ne ...
FORMAT POCHE
La présence du Christ en Afrique noire, l'ambiguïté de l'action missionnaire, le problème de l'universalité du message chrétien, ce sont là les questions graves auxquelles Mongo Béti s'affronte dans ce roman où la puissance de la vision et la création de figures romanesques inoubliables (tel le R.P. Drumont) sont à la mesure de l'exigence réaliste et de la verve critique.
Une saison africaine porte un regard lucide sur une Afrique post-indépendante, spoliée et exangue, en proie à des insuffisances structurelles importantes.
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