Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
Né en 1933 à Mayanda (près d’Idiofa), il a d’abord reçu une formation de philosophie et de théologie au Grand séminaire de Mayidi, avant d’étudier en Suisse (Université de Fribourg) et de soutenir une thèse sur Aimé Césaire en 1968. Depuis lors il a accompli une carrière universitaire comme enseignant à l'Université Nationale du Zaïre (Congo), puis en France et aux USA. Il est à la fois romancier, critique littéraire et philosophe.
Pour la première fois, le Discours est l'objet d'une analyse rigoureuse, concise et approfondie (contexte historique, rhétorique et procédés stylistiques, approche originale des thèmes majeurs, parallélisme entre Discours et Cahier,...), dans une perspective pédagogique.
A la fin du XIXe siècle, quelques familles du canton de Vaud partent s'exiler à Constantine. L'auteur nous entraîne ici dans un suspense psychologique à travers une chronique familiale, franco-helvéto-algérienne....
Dans ce roman fragmenté en brefs chapitres ... Anne TIDDIS a recours à la pudeur du merveilleux où l'onirisme et le sacré côtoient le poétique pour que les cris du bestiaire humain contre les fauves de Dieu, deviennent un hymne incantatoire à la vie.
Il était une fois - à Médina, dans un quartier moyennement bourgeois de la capitale - un homme qui avait su cristalliser sur lui tous les regards, toutes les amitiés, toutes les envies et toute la considération que confère la possession d'un château, de grandes terres, d'une femme ou d'une voiture de luxe, et cela grâce seulement à sa poubelle.
La narratrice, Salimatou, qui finit de purger une longue peine de prison, se décide enfin à écrire à son ami d'enfance de toujours, Serge, pour lui avouer les raisons de ce long silence
Bantouville, capitale coloniale africaine en plein coeur de l'Europe Occidentale Baoulienne, n'a jamais existé - cela va de soi. A la rigueur, pourrait-on l'imaginer comme une extravagante " chambre noire " qui, suite au mariage absurde entre un révélateur périmé et un fixateur hors d'usage, ne saurait produire que des clichés encore plus absurdes. ...
Dans une dictature d'Afrique, un médecin est jeté en prison. Il a, il est vrai, refusé d'assurer la réussite au prochain concours d'infirmière de la jeune maîtresse d'un dignitaire du régime. Son interrogatoire va lui réserver une surprise de taille : il est accusé de militer dans un parti clandestin d'opposition...
La présence du Christ en Afrique noire, l'ambiguïté de l'action missionnaire, le problème de l'universalité du message chrétien, ce sont là les questions graves auxquelles Mongo Béti s'affronte dans ce roman où la puissance de la vision et la création de figures romanesques inoubliables (tel le R.P. Drumont) sont à la mesure de l'exigence réaliste et de la verve critique.
Ce roman rend hommage à José Leandro Andrade, qui a marqué les esprits lors de son passage en France en 1924. La publication du livre en 2024 coïncide avec les Jeux Olympiques de Paris, célébrant ainsi le centenaire de cet événement historique.
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