Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
Condamnés pour blasphème, pour avoir affiché du mépris envers la culture africaine et désacralisé l'oralité, les deux protagonistes doivent se rééduquer dans des hauts lieux de culture du continent. Il nous relatent ici ce que fut cette désaliénation dans ces sanctuaires du savoir.
Né en 1933 à Mayanda (près d’Idiofa), il a d’abord reçu une formation de philosophie et de théologie au Grand séminaire de Mayidi, avant d’étudier en Suisse (Université de Fribourg) et de soutenir une thèse sur Aimé Césaire en 1968. Depuis lors il a accompli une carrière universitaire comme enseignant à l'Université Nationale du Zaïre (Congo), puis en France et aux USA. Il est à la fois romancier, critique littéraire et philosophe.
Pour la première fois, le Discours est l'objet d'une analyse rigoureuse, concise et approfondie (contexte historique, rhétorique et procédés stylistiques, approche originale des thèmes majeurs, parallélisme entre Discours et Cahier,...), dans une perspective pédagogique.
Encore adolescent, Bamikilé quitte son village natal pour tenter l'aventure dans la grande ville de son pays. A force de courage et de bon sens il y fera fortune et gagnera l'estime de ses concitoyens. ...
Une nuit, sur le lac, une femme, ses enfants et son fidèle piroguier sont entraînés par les éléments déchaînés dans les eaux où séjournent les dieux : deux monstres marins qu'ils parviennent à vaincre. Les dieux sont morts, les puissances obscures démythifiées. Le jour se lève, splendide, sur un monde qui pleure ses dieux anciens.
Le protagoniste essentiel de ce récit est un masque, le grand N'TOMO ; de son absence, de son rapt naît le drame. Ainsi sommes-nous invités, peut-être, à méditer les dimensions d'un autre drame où se jouerait la destinée, c'est-à-dire l'identité négro-africaine.
Il s'agit de la rencontre entre deux hommes : Georges et Pierre. L'un est un être ordinaire et l'autre, un prêtre. Ce que tente ici de réaliser Moussa Konaté, dans son deuxième roman et d'une façon originale, c'est de situer la rencontre, non point au niveau de l'opposition religieuse, mais davantage au niveau de la confrontation mentale...
La narratrice, Salimatou, qui finit de purger une longue peine de prison, se décide enfin à écrire à son ami d'enfance de toujours, Serge, pour lui avouer les raisons de ce long silence
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