Au lendemain des indépendances, les Africains assistent à la montée de nouvelles générations d'hommes ambitieux mais corrompus. Robert BILANGA, le principal protagoniste de ce récit en représente le "modèle"
HISTORIQUE
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« La politique n’est pas et n’a jamais été une question rationnelle. Elle n’est, en définitive, qu’une affaire de tripes et de coeur. Et c’est peut-être mieux ainsi. »
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« Sans égo, impossible de survivre dans ce milieu à la limite du mafieux où les ambitions, profondes et démesurées, s’abrasent et s’écrasent, s’engloutissent parfois ou s’entrechoquent dans une tectonique à la violence inouïe. »
Par ces mots, Sibi, narrateur tiraillé et candidat à la présidentielle d’un pays d’Afrique de l’Ouest, nous plonge dans l’intimité d’une campagne où son destin et celui de sa famille sont mis en péril et ne tiennent plus qu’à un fil, celui du secret. Le dernier des arts est un roman riche et intimiste qui nous invite à réfléchir au véritable sens de l’engagement. Il nous donne à voir l’envers du décor de la scène politique comme nous ne l’avons peut-être encore jamais imaginé…
Né en 1987 à Dakar, Fary Ndao vit au Sénégal où il écrit et travaille dans le secteur énergétique. Il est l’un des co-auteurs de l’ouvrage collectif Politisez- vous ! (United Press, 2017) et a publié un essai, L’or noir du Sénégal, en 2018. Le dernier des arts est son premier roman.
Au lendemain des indépendances, les Africains assistent à la montée de nouvelles générations d'hommes ambitieux mais corrompus. Robert BILANGA, le principal protagoniste de ce récit en représente le "modèle"
Un vieux paysan qui n'a jamais quitté son village natal, n'a plus aucun autre souhait que celui de voir la ville et mourir. Au terme de son séjour, il confie à ses hôtes citadins ce qui l'aura le plus frappé dans les centres urbains.
Une saison africaine porte un regard lucide sur une Afrique post-indépendante, spoliée et exangue, en proie à des insuffisances structurelles importantes.
La Chorale des mouches c'est l'histoire de Ben, pousse-pousseur de son état. C'est aussi l'histoire d'Elloën-Marcy et des deux Chancelvie.
Faatu, le personnage féminin de ce roman de Cheik Aliou Ndao, n'aurait-elle qu'une existence vouée aux plaisirs interdits, au vice et à la débauche? Dans ce livre, l'auteur scrute la conscience de son personnage et fait du tissu narratif même de son récit la réponse à la question qu'il feint de nous poser... Dès lors, il peut s'adresser directement à son personnage de façon à nous faire entrevoir la nature exacte de son débat intérieur : "Que cherchait Faatu? Que demandait-elle à la vie? Quels comptes avait-elle à régler avec l'existence? Une drôle de sensation l'emportait ce matin vers son passé, ses années de jeunesse à Dakar. Il lui était difficile de savoir s'il s'agissait d'un rêve ou dialogue conscient avec ce temps-là " Cette façon aiguë, intense d'invoquer le temps, va être à l'origine d'une prise de conscience telle que Faatu, fortune faite, délaisse les voies si envoûtantes des plaisirs mondains pour se mettre à l'écoute d'une voix pathétique, silencieuse et profonde venue de La Mecque. Cheik Aliou Ndao renouvelle à sa manière le thème éternel mais toujours présent du combat entre les exigences de la chair et l'élan de l'Esprit.
Sabine Denoblecourt était une jeune femme blanche qu'un secret de famille avait condamnée à une haine implacable de l'homme noir. Mais un jour elle tomba éperdument amoureuse d'un jeune africain.
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