HISTORIQUE
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Personnage central de Terre aride, Doreen est enseignante. Elle se raconte à la première personne, scrutant d’une part ses relations avec les femmes ― membres de sa famille et collègues ― et exposant d’autre part ses relations avec les hommes, dont son frère. Elle navigue avec maîtrise entre introspection et regard porté sur sa société, avec tant de finesse et de sensibilité que son histoire, même si elle est profondément ancrée dans la terre tanzanienne, dépasse largement ce cadre. Par petites touches subtiles, parfois teintées de sensualité, l’auteure, Elieshi Lema, plonge au cœur des rapports entre femmes, et entre hommes et femmes, avec une sereine acuité. À travers l’histoire de Doreen, elle dresse un tableau original, à la fois très concret et très réfléchi de ces rapports en renversant la tendance habituelle à prendre pour référence le monde des hommes. De son œuvre ressort une réflexion féministe et indépendante.
Elieshi Lema est née en Tanzanie en 1949. Elle suit une formation de bibliothécaire avant de faire des études de Lettres à l’université de Dar es Salaam, puis aux États-Unis. Elle est l’auteure de poèmes mais aussi de livres pour enfants, la plupart écrits en swahili. Elle oeuvre beaucoup pour la promotion de la lecture et a cofondé une maison d’éditions E & D Vision Publishing Ltd à Dar es Salaam.
Rien n'a vieilli en ces nouvelles de Joseph ZOBEL, car le temps n'entame pas l'essentiel.
Une nuit, sur le lac, une femme, ses enfants et son fidèle piroguier sont entraînés par les éléments déchaînés dans les eaux où séjournent les dieux : deux monstres marins qu'ils parviennent à vaincre. Les dieux sont morts, les puissances obscures démythifiées. Le jour se lève, splendide, sur un monde qui pleure ses dieux anciens.
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
Dans ce roman, Dhafer ou l'Elu, traverse le temps et l'espace depuis la débacle des Arabes en Andalousie, jusqu'au crépuscule de ce siècle.
Dans le Saint-Louis du Sénégal du XIXe siècle, « raparille » du portugais « rapariga » (adolescente), désigne « une petite esclave ».
De Siga qui puise dans ses souvenirs d’enfance pour donner le meilleur de son art à Sakura qui, rongé par le feu de l’ambition, mûrira longtemps sa vengeance sur la vie, toute une galerie de personnages, de scènes, de lieux vous transportent dans un univers kaléidoscopique, tout un pan de nos vies…
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