Ce récit tente de ressusciter la péripétie de ce destin tragique et de contribuer à arracher de l'oubli un épisode méconnu, quasi mythique de l'histoire malgache du XIXe siècle.
HISTORIQUE
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L'Angola a accédé à l'indépendance en 1975.
Mais, avant même que celle-ci ne soit proclamée, la guerre avait déjà hypothéqué son avenir. Comment cette ancienne colonie portugaise, jadis vitrine de l'intégration socio-économique des populations, de toutes les races, a-t-elle pu à ce point sombrer dans la régression économique ? Pourquoi, malgré la grande richesse de ses sols et sous-sols, l'Angola ne peut-il pas garantir à ses populations le bien-être auquel elles aspirent ? Les questions ainsi posées justifient le titre de cet ouvrage : Pour comprendre l'Angola.
II s'agit en effet d'une œuvre de réflexion sur les données historiques, économiques, sociales et politiques de l'Angola, pour permettre la synthèse du présent et du passé, en retraçant les péripéties de ce pays et de son peuple. Les deux parties de cet ouvrage permettent une analyse globale de la problématique du développement en Angola : Dans quel contexte ce pays a-t-il accédé à l'indépendance ? Pourquoi les dirigeants ont-ils choisi telle voie politique ou telle option économique ? Quels sont les facteurs extérieurs qui conditionnent le développement de ce pays ?
Après avoir été conseiller d'Agostinho Neto pendant la lutte pour l'indépendance de l'Angola, Manuel Jorge vit en France depuis 1974.
II est professeur de droit à l'Université Paris V-René Descartes et avocat au barreau de Paris.
Ce récit tente de ressusciter la péripétie de ce destin tragique et de contribuer à arracher de l'oubli un épisode méconnu, quasi mythique de l'histoire malgache du XIXe siècle.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Lazare V. KI-ZERBO et Jean-Jacques N. SENE
Depuis que Daniel Guérin a écrit, en 1955, Les Antilles décolonisées, le mouvement de libération des Antilles s'est accentué, tant par la marche en avant de la revendication autonomiste dans les Antilles françaises que par l'accession des Antilles britanniques à l'indépendance.
Gabriel Lisette, Administrateur de la France d'Outre-Mer, d'origine antillaise, est arrivé à Brazzaville en 1944, quelques mois après la Conférence de Brazzaville de janvier-février 1944 où le Général de Gaulle, René Pleven et le Gouverneur général Eboué avaient proclamé l'urgence de rapports nouveaux entre la France et ses colonies.
Dans Impérialisme et théories sociologiques du développement, Babacar Sine a tenté une critique des catégories idéologiques à travers lesquelles la sociologie dite " développementaliste " analysait les sociétés qualifiées, avec réalisme, de périphériques.
Avec : Le marxisme devant les sociétés africaines contemporaines, il poursuit son effort de clarification théorique des concepts marxistes.
Cet ouvrage est le résultat de quelques années de travaux rigoureux à partir d'enquêtes menées sur le terrain, dans un long périple qui a conduit l'auteur au Soudan, puis en Egypte, où il a pu avoir accès aux archives et aux documents officiels, ainsi que rencontrer en de nombreuses occasions les responsables soudanais, politiques et universitaires.
LES PÉPITES PRÉSENCE AFRICAINE
Comme il l'annonçait lui-même lors d'un entretien en 2006 avec les journalistes du quotidien sénégalais Le Soleil, ces Mémoires de Luttes de Majhemout Diop sont « le journal officiel » de ses activités politiques au cours de ces cinquante dernières années. En effet, le Parti Africain de l'Indépendance (PAI), dont il était le leader, est né en 1957. S'inspirant du socialisme scientifique et du panafricanisme, avec comme fondations son triptyque bien connu : Mom sa reew (indépendance totale), Bok sa reew (solidarité et partage), Defar sa reew (construire l'Afrique), le PAI combattait la balkanisation de l'Afrique. Jusqu'à son dernier souffle (janvier 2007), Majhemout Diop restera fidèle à cet idéal qu'il voulait partager avec la jeunesse africaine : « Nous pensons, disait-il, que la jeunesse aurait intérêt à réinvestir le passé pour voir un peu ce qu'il y a à prendre. Les idées du PAI ne sont ni vieillottes ni caduques. »
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