L'Angola a accédé à l'indépendance en 1975. Mais, avant même que celle-ci ne soit proclamée, la guerre avait déjà hypothéqué son avenir. Comment cette ancienne colonie portugaise, jadis vitrine de l'intégration socio-économique des populations, de toutes les races, a-t-elle pu à ce point sombrer dans la régression économique ? Pourquoi, malgré la grande richesse de ses sols et sous-sols, l'Angola ne peut-il pas garantir à ses populations le bien-être auquel elles aspirent ? Les questions ainsi posées justifient le titre de cet ouvrage : Pour comprendre l'Angola. II s'agit en effet d'une œuvre de réflexion sur les données historiques, économiques, sociales et politiques de l'Angola, pour permettre la synthèse du présent et du passé, en retraçant les péripéties de ce pays et de son peuple. Les deux parties de cet ouvrage permettent une analyse globale de la problématique du développement en Angola : Dans quel contexte ce pays a-t-il accédé à l'indépendance ? Pourquoi les dirigeants ont-ils choisi telle voie politique ou telle option économique ? Quels sont les facteurs extérieurs qui conditionnent le développement de ce pays ?
Après avoir été conseiller d'Agostinho Neto pendant la lutte pour l'indépendance de l'Angola, Manuel Jorge vit en France depuis 1974. II est professeur de droit à l'Université Paris V-René Descartes et avocat au barreau de Paris.
Responsable politique, économiste et chercheur universitaire, l'auteur de cet ouvrage était particulièrement qualifié pour mener à bien une telle entreprise. Gali Ngothé Gatta donne un éclairage historique visant à expliquer la décomposition de l'Etat et la guerre civile...
Ce récit tente de ressusciter la péripétie de ce destin tragique et de contribuer à arracher de l'oubli un épisode méconnu, quasi mythique de l'histoire malgache du XIXe siècle.
Au procès de Klaus Barbie, à Lyon, en 1987, l'espèce humaine tout entière était supposée partie civile. [. ] Pour l'accusation, pour les parties civiles, pour les témoins à charge, pour tous ceux qui, dans la presse ou dans la grande salle du Palais de justice, attendaient, réclamaient et applaudirent la condamnation, l'ancien SS n'était rien de moins que la figure emblématique du Mal...
Plus de 30 ans après son indépendance, la paix, condition indispensable au développement, est toujours introuvable au Tchad. Malgré tout, l'unité nationale n'est pas remise en cause. Pour restaurer cette paix, l'auteur préconise pour le Tchad une fédération de sept Etats, sur des critères historiques, économiques, sociaux et culturels
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