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HISTORIQUE
HISTORIQUE
L'histoire de l'Afrique noire médiévale entre Tombouctou, Gao et Djenné
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L'histoire de l'Afrique noire médiévale entre Tombouctou, Gao et Djenné
Djibril Tamsir Niane est un écrivain et historien guinéen, né le 9 janvier 1932 à Conakry (Guinée). Il est spécialiste de l’histoire du Mandé, notamment l'Empire du Mali.
Étudiant en histoire à l’Université de Bordeaux (France), Djibril Tamsir Niane est titulaire d’une licence et d’un DES. Son mémoire portant sur la recherche sur l’Empire du Mali, il collecte auprès des griots, notamment Mamadou Kouyaté, les récits de la tradition orale. C’est à partir de ces recherches qu’il publie en 1960 Soundjata, ou l’épopée mandingue, son ouvrage le plus connu. Il a participé à l’écriture de l’Histoire générale de l’Afrique sous les auspices de l’Unesco avec Joseph Ki-Zerbo.
Il est également auteur de pièces de théâtre comme Les fiançailles tragiques. Certains de ses écrits lui valent la prison sous le régime de Sékou Touré, puis l’obligent à l’exil au Sénégal dans les années 1970.
Djibril Tamsir Niane est professeur honoraire de l’Université Howard (Washington DC) ainsi que de l’Université de Tokyo.
Djibril Tamsir Niane est le père de Katoucha Niane qui a été l'un des premiers mannequins noirs internationaux, auteur d'un livre intitulé Dans ma chair où elle révèle son excision à l'âge de 9 ans1, avant son décès à Paris au début 2008.
Le lecteur doit être curieux de savoir qui était ce cavalier- appelé Blissi - qui semait la terreur dans Ségou, capitale de l'Empire Bambara.
Djibril Tamsir Niane s'est mis ici à l'écoute de l'Afrique traditionnelle. Les paroles qu'il nous propose sont paroles de griots.
Ouvrage écrit en français, anglais, wolof et pulaar.Cet ouvrage, qui regroupe 110 illustrations commentées, témoigne de l'origine africaine de la civilisation égyptienne. "L'Égypte est africaine dans son écriture, dans sa culture et dans sa manière de penser" (Professeur Vercoutter).
Plus de 30 ans après son indépendance, la paix, condition indispensable au développement, est toujours introuvable au Tchad. Malgré tout, l'unité nationale n'est pas remise en cause. Pour restaurer cette paix, l'auteur préconise pour le Tchad une fédération de sept Etats, sur des critères historiques, économiques, sociaux et culturels
Comment s'expliquent les similitudes entre l'Égypte ancienne et l'Afrique Noire? Dans quelle mesure se partagent les influences du berceau sahélien d'une part, et de l'Égypte des pharaons, d'autre part? Les traditions orales ouest-africaines ignorent néanmoins le Sahara et désignent la vallée du Nil (Korotomou ba des traditions mandé, Heli et Yoyo chez les Peuls),...
Personnages légendaires, à l'origine d'un royaume ou d'un héros, reines, mères, prophétesses ou mêmes victimes, les femmes apparaissent en filigrane dans la tradition africaine, dans les pages des récits de voyage ou dans les manuels d'histoire.
Après plus de cent ans de colonialisme, c'est maintenant que le plus dur commence pour cet immense pays, disposant de nombreux atouts à faire valoir et de nombreux défis à relever.
Comme il l'annonçait lui-même lors d'un entretien en 2006 avec les journalistes du quotidien sénégalais Le Soleil, ces Mémoires de Luttes de Majhemout Diop sont « le journal officiel » de ses activités politiques au cours de ces cinquante dernières années. En effet, le Parti Africain de l'Indépendance (PAI), dont il était le leader, est né en 1957. S'inspirant du socialisme scientifique et du panafricanisme, avec comme fondations son triptyque bien connu : Mom sa reew (indépendance totale), Bok sa reew (solidarité et partage), Defar sa reew (construire l'Afrique), le PAI combattait la balkanisation de l'Afrique. Jusqu'à son dernier souffle (janvier 2007), Majhemout Diop restera fidèle à cet idéal qu'il voulait partager avec la jeunesse africaine : « Nous pensons, disait-il, que la jeunesse aurait intérêt à réinvestir le passé pour voir un peu ce qu'il y a à prendre. Les idées du PAI ne sont ni vieillottes ni caduques. »
Un hommage au principal leader du combat pour l'indépendance de la Guinée-Bissau et des Île du Cap-Vert.
La vie d'Abraham Hanibal est un véritable roman d'aventures. Enlevé de Logone au nord de l’actuel Cameroun en 1703, Abraham Hanibal (1696-1781) devient page du sultan ottoman Ahmed III à Constantinople. Il est converti à l'islam et reçoit le prénom d'Ibrahim. Mais à la fin de l'année 1704, il est conduit clandestinement en Russie à la Cour du tsar Pierre le Grand avec la complicité de son ambassadeur Pierre Tolstoï.
L'enfant noir, rebaptisé Abraham et converti à la religion russe orthodoxe, devient le fils adoptif puis un proche collaborateur du tsar. De 1717 à 1723, il est envoyé en France où il obtient son diplôme d'ingénieur militaire et le grade de capitaine d'armée. Deux ans après la mort de Pierre le Grand en 1725, il est exilé dans l'enfer sibérien par le prince Menchikov. Par bonheur, l'impératrice Anne le fait revenir trois ans plus tard lorsqu'elle monte sur le trône...
La geste de Toussaint-Louverture que propose ici Aimé Césaire s'étend au-delà des limites de l'histoire d'Haïti et de son émancipation ; elle constitue un temps fort de l'histoire universelle.
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